mardi 27 novembre 2007

Message de nos amis identitaires

Chers amis,

Après l’immense succès de la Convention Identitaire (voir ainsi la nouvelle vidéo de la Convention sur http://www.youtube.com/v/YBpSP28SsJM&rel=1), le Bloc Identitaire et les Jeunesses Identitaires entendent développer leurs actions et passer à une vitesse de développement supérieure.

D’ores et déjà, une Fédération des élus identitaires regroupant le Bloc Identitaire et Alsace d’Abord a été mise sur pied. En visitant le blog internet www.elus-identitaires.com, vous constaterez que celle-ci vise à rassembler les élus municipaux enracinés, à leur fournir des argumentaires, des outils juridiques, des modèles d’intervention etc…

Si nos moyens financiers nous le permettent, nous espérons organiser un grand meeting à Paris au mois de mai 2008 mais également procéder à l’acquisition de vastes locaux à Nice permettant d’organiser des rencontres, des conférences, des spectacles. La location d’un local à Paris est également projetée.
Le militantisme classique (diffusion de tracts, d’affiches, d’autocollants…) et la formation politique restent des priorités qui nécessitent de l’argent.

Nous avons donc besoin de vos dons.

Pour pouvoir bénéficier d’un reçu fiscal ouvrant droit à une déduction fiscale de 66 %, les Identitaires vous invitent à procéder à des dons par chèque à l’ordre de l’association « CITE » à envoyer à l’adresse suivante : NR, BP 13, 06 301 NICE Cedex 4.

Un don de 100 euros ne vous coûtera réellement que 34 euros, un don de 500 euros ne vous coûtera que 170 euros, etc…

La délivrance d’un reçu fiscal anonyme, établi par CITE permettra une discrétion absolue.


Merci d’avance pour votre générosité.

Les Identitaires/Bloc Identitaire/Jeunesses Identitaires

jeudi 22 novembre 2007

Administration

Suite à une panne de mon ordinateur personnel, je risque de ne pas pouvoir poster après un certain temps.

dimanche 18 novembre 2007

Congrès du FN

Il est finalement terminé, ce congrès du FN! Le plus intéressant sont les élections internes. On note que M Gollnish est arrivé premier avec 85% des suffrages, et Marine Le Pen deuxième avec 75%. Si on inverse les chiffres, on voit que 15% des militants n'ont pas voté pour Bruno, et 25%, soit 1.7 fois plus, des militants n'ont pas voté pour Marine. Le rejet de Marine, malgré son omniprésence dans les medias (ceux ci encensent la personne la plus nulle, puisqu'ils veulent la fin du FN) et le soutien de son père, est quand même très fort: un militant sur 4.
Qu'à cela ne tienne, Jean Marie nomme Marine Le Pen à de nouvelles responsabilités, la communication, la formation, et la propagande; retrouvera t-on Marine Le Pen qui serre les mains des femmes voilées dans les banlieues, ou l'affiche avec une arabe en string rose? Quant à Gollnish, on lui supprime son poste de délégué général, ainsi qu'une partie de ses responsabilités; on lui octroie seulement les affaires internationales et européennes, ainsi que l'adaptation du programme du parti, tâche peu aisée s'il s'agit d'un programme dicté par Marine Le Pen.
Derrière cettez affaire, on voit que ces élections internes ne changent rien du tout aux visées de Jean marie Le Pen, qui est d'imposer sa fille. Le fonctionnement du parti est népotique et anti démocratique puisque tout est décidé par le président. Dans quel autre parti verait-on une personne plebiscitée par les militants déchue de ses responsabilités, et une autre désavouée, promue à des fonctions plus importantes? De toute manière, ce comité central ne sert quasiment à rien, puisque le président décide de tout. Il permet simplement de prendre la température des militants et voir la direction dans laquelle le vent tourne. Et ce vent tourne vers Gollnisch, quelqu'un qui ne transige pas sur les fondamentaux du FN et veut l'Union patriotique. Malgré les manoeuvres paternelles, il reste encore un espoir.
On apprend également que Jean Marie Le Pen aurait décidé de nommer directement au comité central le marxiste islamophile Soral, ainsi qu'un certain Marc Georges, proche du fauc comique Dieudonné.

Bonne nouvelle à Tourcoing: M Baeckeroot a déclaré vouloir se rapprocher du MNR pour les municipales.

samedi 17 novembre 2007

Grande manifestation contre les blocages

Contre les blocages, l'organisation Liberté Ch&rie appelle à manifester le dimanche 18/11 15h Place de la République à Paris.

vendredi 16 novembre 2007

Un nouveau site du MNR

Grâce à l'excellent site du MNR 42, j'apprends la naissance d'un nouveau site MNR (ici), celui des Pyrénées. Nous lui souhaitons un brillant avenir sur la toile.

Spécial FN

Que de choses intéressantes dans le numéro de Minute du 14 novembre 2007! On apprend ainsi la démission du secrétaire départemental des Hauts-de-Seine, M Gallais, le premier novembre. Motif? Des "relations déplorables" avec Marine Le Pen, et ses désaccords majeurs, le premier sur l'islam français, cher à Marine Le Pen, le deuxième sur le refus par celle-ci de l'Union patriotique, à laquelle il était favorable et qu'il voulait mettre en place aux élections municipales.
M Aliot, secrétaire général du FN, a adressé une lettre le 22 octobre à l'ensemble des secrétaires départementaux pour leur dire que l'Union patriotique telle qu'imaginée à l'élection présidentielle de 2007 n'existait plus.
Il a de même envoyé une lettre au conseiller municipal FN de Six-Fours-Les-Plages (Var) qui avait manifesté le désir de monter une liste de rassemblement de patriotes pour lui dire que "le Front national n'apportera pas son soutien à une liste d'union avec le MNR". Plus bizarrement, il déclare qu' "une entente est possible avec les villiéristes qui auraient enfin compris l'impasse dans laquelle les a engagés le faussaire de Villiers". Le conseiller municipal, très étonné, regrette cette décision: "Partir sans dynamique de rassemblement, c'est un boulet. C'est quasiment assurer la défaite."
A Bergerac (Dordogne), il n'y aura pas non plus de liste d'union. Le conseiller municipal sortant ex FN ex MNR a proposé la troisième place de la liste au secrétaire départemental FN. Celui-ci a decliné, en raison du refus de la direction du FN de conclure tout accord avec le conseiller municipal sortant.
M Gollnish déplore ce sectarisme: "L'épisode de l'avortement de l'Union patriotique a été désastreux: vouloir la faire à nos seules conditions et en refusant la venue de personnalité sans autre motif que l'absence d'allégeance totale à notre égard a participé de notre déroute électorale. Renoncer à des accords avec le MNR aboutirait de fait à renoncer à se présenter dans des villes dans lesquelles nous pourrions avoir des élus mais pour lesquelles, à l'heure actuelle, seuls les apports externes au FN nous permettraient de boucler les listes".

Le FN réitère la même erreur qu'il a commise aux législatives: le refus d'accord avec le MNR. Ce refus lui avait coûte très cher, nombre de candidats FN ayant fait dans les 4-5% et qui auraient pu franchir la barre cruciale des 5%, qui leur auraient permis d'être remboursés des frais de campagne, avec l'appoint des voix du MNR.
AUx municipales, l'union est également déterminante pour constituer une liste, tout d'abord. Les règles demandent que l'on fournisse une liste comportant autant de noms qu'il y a de sièges à pourvoir, opération extrêmement compliquée pour les petites formations. Un accord FN-MNR permet de regrouper les forces. Un accord permet également d'accéder plus rapidement au seuil de 5% de remboursement, et de 10%, seuil de passage au second tour. Lors de la répartition des sièges, celle-ci ne se faisant pas à la proportionnelle mais à la plus forte moyenne, il est plus intéressant d'être unis. Enfin, une prime est attribuée à la liste majoritaire; l'union permet donc plus facilement de gagner. Dernier point: l'union crée une dynamique.
Il faut voir derrière ces directives l'emprise de plus en plus grande qu'a Marine Le Pen et ses séides sur le FN, qui dictent sa stratégie politique, qui pourrait être: "qu'importe le nombre de conseillers municipaux que le FN obtient, pourvu que le M?R n'en obtienne pas!" Et la France, dans tout cela? Marine Le Pen semble peu s'en soucier.

jeudi 15 novembre 2007

Interview de Nicolas Bay dans Présent

PRÉSENT – 31/10/07

Quel avenir pour le mouvement national ?
La réponse de Nicolas Bay, Secrétaire général du MNR


Quel est le trait dominant de la période dans laquelle nous vivons ? L’élection de Nicolas Sarkozy marque t-elle la fin du cycle Chiraco-Miterrandien, entrons nous dans une nouvelle ère de la vie politique française ?

La dégradation – et même l’inversion – des valeurs, qui caractérise actuellement notre société, a conduit au mondialisme, au matérialisme, à la culture de mort, à la remise en cause des structures essentielles que sont la nation et la famille et au manque d’ambition et de rayonnement de notre civilisation européenne. Ce déclin s’accompagne – assez naturellement il faut le dire – d’une culpabilisation des Français et des Européens qui n’ont plus la fierté de leur passé et, en conséquence, n’ont plus d’ambition collective pour le futur. Le pape Benoît XVI le soulignait récemment : « L’Occident montre une haine envers lui-même qui paraît étrange et peut être considérée uniquement comme un phénomène pathologique ; l’Occident ne s’aime plus. Dans son histoire, il voit uniquement ce qui est blâmable et destructif, et il n’est plus capable de reconnaître ce qui est grand et pur.»

La décadence morale a conduit a une décadence politique. Mitterrand, Chirac ou Sarkozy en ont été ou en sont, chacun à leur façon, l’incarnation. Il y a d’autant moins de changement d’ère politique depuis le 6 mai dernier que Sarkozy s’est empressé de faire appel à toute la vieille garde mitterrandienne, de Lang à Attali, en passant par Kouchner. Mais Sarkozy a perçu que les Français, longtemps anesthésiés, commençaient à se réveiller ; d’où le changement qu’il a opéré dans la forme, le ton, le style, avec l’habileté de se positionner sur les thèmes de l’identité, de l’autorité ou encore de la souveraineté nationale, pour gagner l’élection présidentielle. Cependant, les actes ne sont pas en accord avec les promesses qui, elles-mêmes, étaient minimalistes ! En effet, le discours de Sarkozy consiste davantage à faire un constat qui correspond à ce que les Français ressentent, qu’à faire des propositions crédibles et encore moins à les mettre en œuvre. La priorité est donnée à l’image au détriment de la compétence, la communication a pris le pas sur l’action. La composition du gouvernement l’illustre bien : les nominations de Fadela Amara ou de Rama Yade ont pour but de satisfaire des communautés. Elles n’ont pas été désignées pour leur compétence mais pour ce qu’elles représentent. Tout cela caractérise une action politique dans l’urgence, sans vision ni volonté à long terme et sans souci de l’intérêt général. Les projets de loi voient le jour au gré des faits divers et de ce qui émeut l’opinion publique. C’est le règne de l’immédiateté et du sentimental ; le gouvernement aligne son fonctionnement sur celui des médias.


Quelles sont les menaces auxquelles est confrontée la société actuelle et les enjeux les plus importants, autant intérieurs qu’extérieurs ?

Le matérialisme et l’individualisme provoquent aujourd’hui une importante soif spirituelle, ce qui explique par exemple le développement des sectes ou encore – et c’est plus réjouissant – les mobilisations spectaculaires de foules lors des voyages pontificaux. Tandis que la civilisation européenne et chrétienne doute d’elle-même, le monde musulman est en pleine expansion et, même s’il ne constitue pas un ensemble homogène, il tend à se radicaliser dans une démarche de conquête et d’affrontement qui, historiquement, a toujours caractérisé ses relations avec l’occident.

L’islamisation est aujourd’hui la menace principale qui pèse sur les nations européennes et, dans ce domaine, la classe politique fait preuve d’une criminelle lâcheté. En effet, l’angélisme face à l’islam est une dangereuse utopie ! Et dans ce domaine, Sarkozy et l’UMP sont encore pire que la gauche : ils ont créé le conseil français du culte musulman qui a donné un poids institutionnel à la branche la plus radicale de l’islam en France et favorisent la construction de mosquées monumentales (contre lesquelles nos élus municipaux MNR bataillent vaillamment). Dans son approche de cette question si importante, la classe politique, refuse d’admettre l’incompatibilité structurelle et intrinsèque qui existe entre l’islam et nos valeurs de civilisation. Car l’islam est autant un mode d’organisation politique et social qu’une croyance religieuse. Il n’est donc pas soluble dans notre société.

Mais, indépendamment des décisions politiques qu’il est nécessaire de prendre pour empêcher le développement d’un islam radical sur notre sol, la seule réponse crédible, sur le fond et à long terme, c’est que la France et l’Europe retrouvent leur capacité de rayonnement spirituel, politique et culturel. Et, pour cela, il faut un réenracinement profond des peuples européens dans les valeurs immuables qui fondent leur identité commune.


Quel avenir voyez-vous au Mouvement National ? Quelles sont les formes que le Mouvement National devrait prendre pour faire face aux dangers et aux enjeux d’aujourd’hui ?

Sarkozy a enthousiasmé les Français momentanément en pillant une partie de nos idées ou, du moins, de notre vocabulaire. Mais, inexorablement, il décevra les patriotes qui ont cru qu’il répondrait à leurs aspirations.

La droite nationale et identitaire pourra dès lors apparaître comme un recours si elle parvient à se reconstruire et à se poser en alternative crédible et attrayante. Et cette crédibilité ne peut exister qu’avec une stratégie clairement définie et un programme politique complet, cohérent et en phase avec les réalités d’aujourd’hui. Je parle de « droite » car je pense que cela définit clairement ce que nous sommes. Il ne s’agit pas, bien sûr, de se reconnaître dans la fausse droite qui est, pour l’essentiel, alignée sur les positions sociales-démocrates et mondialistes de la gauche. En revanche, le clivage philosophique entre la droite et la gauche est un élément structurant de la vie politique et sociale dont découlent des visions diamétralement opposées de la place de l’individu, de ses libertés, de ses devoirs et du rôle de la puissance politique.

S’agissant de la droite nationale française, celle-ci a été organisée, depuis une trentaine d’année, autour du FN comme composante principale et autour de Jean-Marie Le Pen comme chef et porte-drapeau. Ce dernier a su fédérer son camp et le porter remarquablement vers les succès électoraux. Cela aura été son très grand mérite quels que soient par ailleurs les griefs que peuvent avoir les uns ou les autres à son égard.

Aujourd’hui, nous devons inventer la droite nationale de demain, dans la fidélité à nos valeurs mais avec des nouvelles méthodes, une nouvelle organisation et de nouveaux visages. Face aux dangers qui menacent la France et l’Europe, la défense de notre identité (la famille, la nation et la civilisation) doit être l’axe politique principal de notre combat. Et, pour y parvenir, le rassemblement de tous les patriotes sincères me semble un préalable essentiel dès lors que ceux-ci souhaitent agir sur le terrain politique et qu’ils en acceptent donc les règles et les contraintes. Dans les prochaines semaines, le MNR va s’investir dans ce combat de refondation et prendra, à l’occasion des élections municipales notamment, des initiatives d’actions et de candidatures communes.

Propos recueillis par Catherine Robinson

Elections au Danemark

Quand la droite essaye de se débarasser de la droite nationale au profit des immigrés centristes... et échoue

Le gouvernement libéral conservateur était soutenu par le Parti du Peuple Danois, formatin de droite nationale, opposée à l'immigration et à l'islamisatioN. Ce soutien encombrait beaucoup le premier ministre qui aurait bien voulu se passer de cet allié? Profitant de la création d'un parti de centre droit par un certain Naser Khader, crédité de 10 sièges dans les sondages en cas d'élection, d'un bon bilan économique, le premier ministre a organisé de nouvelles élections, en espérant pouvoir créer un gouvernement libéral conservateur soutenu par cette formation et renvoyer le Parti du Peuple danois dans l'opposition.
L'électorat danois a déjoué tous ses plans. Le parti de Naser Khader a remporté 5 sièges seulement, tandis que le PPD remportait 25 sièges, soit un de plus que précédemment. De plus, le nombre de sièges obtenus par les libéraux, les conservateurs, le PPD et une formation de droite des Iles Féroé est de 90 soit tout juste la majorité absolu. Le nouveau gouvernement n'aura donc pas besoin du soutien de Naser Khader et peut donc reconduire son gouvernement, avec toutefois une marge de manoeuvre réduite (90 sièges sur 179, contre 94 précédemment), et dépend du bon vouloir de la formation des Iles Féroé (1 siège) qui pourra obtenir à peu près tout ce qu'elle voudra.


Communiqué du MNR: Après les bons résultats de l’UDC en Suisse, nouveau succès de la droite nationale et identitaire au Danemark !

Nicolas Bay, secrétaire général du MNR, salue le beau succès obtenu par le Parti du peuple danois (Dansk folkeparti) qui sort grand vainqueur des élections législatives au Danemark. Avec 13,8 % des suffrages, la droite nationale danoise renforce en effet sa position au sein de la coalition de droite au pouvoir et devient le troisième parti du pays.

Le Parti du peuple danois avait mené une campagne énergique contre l’immigration, tout comme l’UDC de Christoph Blocher qui a récemment obtenu plus de 29 % des voix en Suisse après une campagne très explicite et imagée contre l’invasion migratoire.

Ces résultats montrent que les Européens sont de plus en plus nombreux à souhaiter défendre la civilisation européenne et chrétienne face à l’immigration et à l’islamisation. Pour répondre, elle aussi, à cette nécessité, la droite nationale française doit se rénover et se rassembler.

Nouvelle émission sur Radio Courtoisie

A l'occasion de son vingtième anniversaire, Radio Courtoisie lance une nouvelle émission, le bulletin de réinformation. Il est diffusé de 7h15 à 7h30 et rediffusé de 11h45 à 12h. Il a pour but de donner un éclairage nouveau sur l'actualité.
Pour ceux qui ne peuvent pas l'écouter, le bulletin du jour est disponible sur le site de Radio Courtoisie. Les vieux bulletins sont disponibles sur le site de Novopress (identitaires).

Solidarité Kosovo

http://fr.youtube.com/watch?v=C2RNGQpP9F0

Concention identitaire: compte rendu

La convention identitaire que nous avons signalée s'est déroulée donc les 10 et 11 novembre.
Compte rendu:

La Convention, c’était 300 personnes qui ont accepté de se déplacer jusqu’à Beaune pour deux jours (donc avec des frais de transports, d’hébergement, les repas à payer et l’entrée à la Convention). La Convention, c’est le superbe cadre du Palais des Congrès, mais c’est aussi le sérieux des jeunes gens des Jeunesses Identitaires qui était frappant, l'ambiance sympathique, la qualité des interventions, l'alternance entre les projections de films et les discours, l'envie de travailler.
Je suis heureux d'avoir découvert des cadres et des militants que je ne connaissais pas : les jeunes femmes à l'accueil qui ont été d’un patience admirable pour s’occuper des formalités, Jacques Cordonnier d'Alsace d'Abord dont la gentillesse rivalise avec le sens de l’organisation, Pierre Graillard, le nouveau patron des JI qui a commencé son intervention en expliquant qu’il n’était pas un orateur et qui a fait un discours sans note, carré, clair, bref, un discours de bon...orateur…
Heureux également d’avoir retrouvé Guillaume Luyt, Dominique Lescure, Fabrice, Richard, Philippe qui ont toujours été de bonne humeur pour présenter les uns et les autres, faire respecter les temps de parole tant les orateurs étaient passionnés et passionnant, heureux de constater l'esprit unitaire des cadres MNR qui étaient là comme Nicolas Bay… tout cela m'a impressionné.
Merci à Arnaud Borella qui s'est révélé être, lui aussi, un excellent orateur et qui a présenté un film sur les actions de Solidarité Kossovo en direction des enfants serbes des enclaves qui en a ému plus d’un. Merci à Mario Borghezio, député européen de la ligue du Nord pour un discours magnifique et tonitruant.
Bravo à Patricia Vayssière, jeune conseillère municipale de Montreuil qui a fait annuler le bail pour la mosquée de Montreuil et qui a fait un cours sur les recours juridiques contre les mosquées. Bravo à Jean-Baptiste Santamaria qui dirige le groupe Sparte qui regroupe les intellectuels (universitaires, spécialistes…) proches des Identitaires pour réfléchir aux questions de société.

Merci aux catalans, aux alsaciens, aux portugais, aux serbes, aux flamands....

Merci à tous pour la bonne humeur de ces deux jours.

Nous étions loin, très très loin de l'extrême droite ringarde, des revanchards, des perdants, des aigris.

Je crois que pendant les discours et les ateliers, les noms de Le Pen, Marine ou Jean-Marie, Gollnisch, Lang, de Villiers ou Mégret n'ont jamais été prononcés. Personne n'a dit du mal de ces personnalités, personne n'en a dit non plus du bien.
En fait, nous étions « ailleurs », loin des querelles, des conflits des chapelles des calculs de boutiquiers.

Nous avons passé deux jours de travail pour apprendre à lutter contre l'Islam en faisant des recours juridiques contre les mosquées, à organiser des soupes pour les démunis, à organiser le prochain voyage d'aide pour les gosses serbes du Kossovo, à monter des agences de presse, organiser des médias, échanger des idées, des infos....

Cette Convention a démontré que les Identitaires avaient inventé une autre façon de faire de la politique avec un style différent de ce que l’on connaissait.

Hugues DELAGNY

dimanche 11 novembre 2007

Le MPF, le FN et Marine

Les temps sont durs pour la droite nationale. M Donnedieu de Vabres, candidat UMP à Tours, a contacté la responsable MoDem du coin, mais également un candidat cégétiste! Intéressant choix qu'auront les Tourangeaux: une liste socialo communiste, une liste umpiste modemo cégétiste. M Peltier, qui soutenait M de Villiers, candidat 100% anti socialiste, va t-il rejoindre Donnedieu de Vabres et le cégétiste? Et ce n'est pas fini; M Donnedieu de Vabres veut que sa liste soit métissée. Evidemment, avec la surenchère communautariste qui se développe, et l'important poids électoral des africano maghrébins, cela devient très intéressant de les séduire électoralement, au détriment de personne de qualité et compétentes qui se font écarter au profit de Rachid uniquement parce qu'elles s'appellent Pierre.
De même, à Lyon, M Louis s'obstine à vouloir soutenir M Perben, même si celui ci déclare qu'il veut une université musulmane.
A Nice, la situation tourne à la caricature; la secrétaire départementale désavoue Payrat pour aller rejoindre, non pas M Rivière, mais M Estrosi, partisan de la construction d'une mosquée à Nice (évidemment, il faut bien racoler les voix des musulmans), tandis que M Rivière est bien silencieux. Quant à M Peyrat, il déclare récemment qu'il va finalement se présenter contre M Estrosi, et annonce qu'il ouvrira sa liste jusqu'aux personnalités de centre gauche.
Je ne sais pas d'où vient cette frénésie suicidaire des gens de droite de séduire la gauche et de prendre des gens de gauche sur leur liste. Déjà, idéologiquement, fausse droite et gauche sont proches, leurs programmes sont quasi semblables.
M%ais tout cela n'empêche pas le MPF de continuer à mendier ses places de conseillers municipaux.

AU FN, la situation est encore plus catastrophique, les soralo marino aliotistes sont en train de verrouiller le parti. Une bonne dizaine de personnes de valeur comme M Touzé ou M Baeckeroot ont annoncé qu'elles ne se représenteraient pas aux élections de novembre, de nombreux conseillers municipaux ont démissionné. La poignée de sectaires fanatiques prêts à tout pour que Marine s'empare du parti sabrent tous leurs opposants.
Mais ce n'est pas qu'une question de personnes, c'est aussi une question d'idéologie. Les partisans de Marine veulent une refonte du programme, qu'ils rebaptisent hypocritement dédiabolisation. Comme Mégret l'a très bien expliqué, la dédiabolisation devrait consister à arrêter les petites phrases provocatrices sur la seconde guerre mondiale, pas abandonner le programme! Mais le mal est déjà fait; on cautionne l'avortement, le PACS, la construction de mosquées, on tente de séduire les immigrés et on rallie quelques marxistes comme Soral. Quand on pense qu'en 1984, M Le Pen, à l'Heure de vérité, faisait une minute de silence en mémoire des victimes du communisme, on s'aperçoit que les temps ont bien changé!
C'est aussi une question de stratégie. Alors que certains comme M Lang veulent une véritable union patriotique, un rapprochement avec le MNR et d'autres groupes dynamiques comme les Identitaires, les marinistes méprisent au contraire ceux qui ne soutiennent pas Marine à 1000%. Ainsi, M Aliot veitn de déclarer l'enterrement de l'Union patriotique, enterrement uniquement dû aux pressions marinistes.
Marine me fait un peu penser à Mme Royal. Comme elle, elle méprise le parti, est extrêmement dur vis à vis de ses opposants ou plus généralement des personnes qui ne l'adulent pas, et elle veut rénover le parti et le programme.
L'avenir du FN est clair: Le Pen père mettra à profit son dernier mandat pour écarter les derniers opposants à fifille. Le FN s'épuisera dans des querelles internes au détriment du combat pour les municipales, régionales et européennes, et fifille héritera d'un parti délabré, sans le sou, privé de ses meilleurs cadres, avec peu de militants car ils seront partis pendant la crise, et elle pourra imposer son programme anti national pour faire une poignée de voix.
Pauvre FN. Pauvre droite nationale.

Les étudiants appellent au blocage des gares

La coordination nationale étudiante a appelé au blocage des gares le 13 novembre. Bien entendu, personne n'osera poursuivre cette coordination pour incitation à l'entrave à la circulation. Les gauchistes ont tous les droits dans notre République, que ce soit la fausse droite ou les socialo communistes au pouvoir.

samedi 10 novembre 2007

LAU

La loi sur l'autonomie des universités (LAU) provoque quelques vagues. Des étudiants commencent à bloquer les universités, en se croyant auréolés d'une légitimité conféré par des votes d'Assemblée générale. Quelle fumisterie! Des votes où tout le monde peut participer, y compris quelques cheminots venus en renfort, faits à main levée, où les opposants sont conspués, sans réel débat, au moment qui arrange les bloqueurs et organisés par eux. Si par miracle le résultat est négatif, aucun problème, ils en organisent un nouveau deux heures plus tard.
D'ailleurs, quand bien même le vote est organisé dans de saines conditions (contrôle strict de la qualité d'étudiant, à bulletins secrets, etc), en quoi cela donnerait l'autorisation à quelques agités marxistes de bloquer l'université? S'ils ne sont pas contents du texte de loi, qu'ils fassent grève s'ils veulent, c'est-à-dire qu'ils restent chez eux (cela ne changera pas grand chose, de toute manière), point! C'est comme dans les entreprises: la grève est un droit, les piquets de grève sont interdits. Si on ne peut obliger un étudiant à aller travailler (après tout, c'est son problème s'il ne trouve pas de boulot plus tard), d'un autre côté, on doit garantir la liberté d'étudier.
Hélàs, Sarkozy a ouvert la boîte de Pandore en proposant qu'il y ait un vote à bulletin secret dans les universités sous les huit jours, ce qui revient à considérer que des étudiants auraient le droit de bloquer l'université et d'empêcher la minorité d'étudier. Ce projet ridicule, qui favorise l'extrême gauche, n'a heureusement pas été retenu. Mais comment ensuite s'étonner si les gauchistes de SUD utilisent ensuite un résultat de vote pour s'octroyer une légitimité à bloquer?
AUtre chose, c'est la faiblesse du gouvernement de Raffarin, et de Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur, dans l'affaire du CPE qui poussent les étudiants. A partir du moment où le gouvernement UMP avait capitulé sur le CPE, les étudiants de gauche s'imaginent qu'en refaisant le même bazar, ils obtiendront la victoire. Et leur raisonnement tient la route! Lors du CPE, le gouvernement avait laissé les facultés bloquées, très peu de monde avait été arrêté, et les peines prononcées ont été dérisoires, et surtout il n'y eut aucune sanction financière; il aurait été pourtant logique de demander à l'UNEF et ses alliés d'extrême gauche de rembourser les dégâts. Je le répète: sur le CPE, la gauche avait gagné totalement sur tous les points. Pas étonnant qu'elle soit aussi remontée sur cette loi.
Dernière chose, mais pas la moindre: ce texte, assez mauvais paar certains aspects, ne va pas jusqu'au bout des choses. En particulier, la question de la sélection n'est pas évoqué. Ce ne sont pas les quelques mesurettes prévues par la LAU qui vont sauver les universités françaises de leur marasme. Un nouveau texte sera nécessaire; le gouvernement pensait peut-être, en faisant un texte aussi timoré, s'épargner une opposition musclée. Le pari est perdu, puisque certains étudiants commencent à expliquer qu'ils sont contre le texte parce que les patrons d'entreprises deviendront président à la place des recteurs (non, je n'invente pas) ou que les frais d'inscription seront multipliés par 10. Quitte à ce qu'il y ait des problèmes, autant que ce soit pour une vraie réforme. Avec l'UMP sociale démocrate, on aura une réformette et des problèmes; à tout prendre, il valait mieux ne rien faire.

vendredi 9 novembre 2007

Manifestation contre le passage en force du TCE

Sarkozy et son gouvernement veulent imposer le TCE aux Français, méprisant ainsi le referendum de 2005. C'est un coup de force anti démocratique.
Le collectif France Indépendance appelle donc à manifester place de l'Opéra, le 11 novembre, à partir de 14h30.

Un texte surprenant trouvé sur le blog de VGE. Les extraits les plus significatifs:

en quoi le traité de Lisbonne diffère-t-il du projet de traité constitutionnel ? La différence porte davantage sur la méthode que sur le contenu.[...]Le traité de Lisbonne se présente ainsi comme un catalogue d’amendements aux traités antérieurs. Il est illisible pour les citoyens, qui doivent constamment se reporter aux textes des traités de Rome et de Maastricht, auxquels s’appliquent ces amendements. Voilà pour la forme.
Si l’on en vient maintenant au contenu, le résultat est que les propositions institutionnelles du Traité constitutionnel – les seules qui comptaient pour les Membres de la Convention – se retrouvent intégralement dans le traité de Lisbonne mais dans un ordre différent et répartis dans les traités antérieurs.
Il y a cependant quelques différences. Trois d’entre elles méritent d’être notées.
1)D’abord le mot « Constitution » et l’adjectif « constitutionnel » sont bannis du texte [...]
2)Et l’on supprime du même coup la mention des symboles de l’Union : le drapeau européen, qui flotte partout, et l’hymne européen emprunté à Beethoven. Quoique ridicules, et destinées heureusement à rester inappliquées [...]
Concernant, ensuite, les réponses apportées aux demandes formulées en France par certains adversaires du Traité constitutionnel, il faut constater qu’elles représentent davantage des satisfactions de politesse que des modifications substantielles.[...]
3)Des concessions aux Britanniques[...]
On constate bien, comme je le disais, que le texte des articles du Traité constitutionnel est pratiquement inchangé mais qu’il se trouve dispersé sous forme d’amendements aux Traités antérieurs, eux-mêmes réaménagés. On est évidemment loin de la simplification. Il suffit de consulter les tables des matières des trois traités pour le mesurer ! Quel est l’intérêt de cette subtile manœuvre ? D’abord et avant tout d’échapper à la contrainte du recours au référendum, grâce à la dispersion des articles, et au renoncement au vocabulaire constitutionnel.
Mais c’est aussi, pour les institutions bruxelloises, une manière habile de reprendre la main.[...]
La phase suivante sera celle des ratifications. Elle ne devrait pas rencontrer de grandes difficultés – en dehors de la Grande-Bretagne où un référendum aboutirait manifestement à un rejet -, car la complication du texte, et son abandon des grandes ambitions suffisent pour en gommer les aspérités.[...]
Mais soulevons le couvercle, et regardons dans la boîte : les outils sont bien là, tels que les avaient soigneusement élaborés la Convention européenne, des outils innovants et performants : la Présidence stable, la Commission réduite et recentrée, le Parlement législateur de plein droit, le Ministre des Affaires étrangères en dépit de sa casquette trop étroite, la prise de décisions à la double majorité, celle des Etats et celle des citoyens, et la charte des droits fondamentaux la plus avancée de notre planète.


Merci Giscard d'Estaing, merci de ces aveux! Si l'on récapitule, VGE reconnaît que tous les points que nous critiquions concernant le TCE se retrouvent in extenso dans le traité de Lisbonne: un Président de l'Union (premier symbole d'un Etat), une commission réduite (c'est à dire la perte du droit de veto pour la Franc, on passe à la règle de la majorité, comme VGE le confirme, c'est à dire que les Lettons auront un droit de regard et de contrôle sur ce que nous voulons faire), un ministre des Affaires Etrangères (c'est à dire une politique étrangère commune, donc une perte d'indépendance de la France concernant un pooint important de ses fonctions régaliennes), et une charte avec des "droits", des droits partout, avec des noms de chapitre aussi plats que "solidarité" ou citoyenneté.
Certes, il y a trois petites différences, le terme "constitution" a été abandonné, ce qui ne change pas grand chose, les symboles ont été écartés mais, come le souligne VGE, la décision sera inappliquée (i e un texte pourra toujours être voté plus tard pour donner un statut à ces symboles, et en attendant, on continue à les utiliser, que ce soit sur les plaques de voiture ou la photo officielle du président pour le drapeau de l'UE, ou pendant les défilés de l'ex Fête nationale), et enfin des concessions ont été faites aux Britanniques. Britanniques qui, eux, ont le courage de demander des modifications! VGE souligne que le président n'a rien obtenu de concret. Egalement, que le traité est tout sauf simplifié, et que cela a été fait exprès pour écarter les referenda, referenda, qui donneraient probablement des résultats négatifs.
En gros, VGE confirme toutes les raisons pour lesquelles on ne veut pas de ce texte.


Edit: en relisant mon message, je me suis aperçu -crime suprême!- que je reprenais une expression de M Le Pen dans cet article. Je vous laisse chercher laquelle.

Amara en remet une couche sur les discriminations

Les vilaines discriminations n'ont qu'à bien se tenir! Super Amara est là!
Fadela déclare qu'elle veut inciter les entreprises du CAC 40 à investir dans les quartiers. On notera le caractère euphémique du terme.
Il faudrait plutôt se demander: "pourquoi les entreprises du CAC 40 n'investissent pas dans les fameux quartiers?" Peut-être est-ce parce qu'elles n'ont pas envie de voir leurs locaux incendiés? Parce qu'ils savent que ce sera difficile de trouver des employés parlant correctement français, bien intégrés? Parce que les entreprises du CAC 40 n'ont pas envie de surpayer des cadres pour qu'ils acceptent de travailler dans ces quartiers, alors que dans d'autres zones, tout se passe beaucoup mieux?
C'est un peu facile de demander aux entreprises du CAC 40 d'aller investir dans ces fameux quartiers (au détriment d'autres endroits qui accueilleraient avec plaisir des entreprises mais dont les habitants ont le double tort de s'appeler Jean-Pierre ou Mathieu mais pas Rachid ou Djamel, et qui ne cassent pas les voitures), quand on ne prend pas la peine d'assurer des éléments essentiels au développement économique, comme la sécurité.
Les habitants des quartiers veulent-ils vraiment qu'il y ait des entreprises? Franchement, je n'en ai pas l'impression? Les caïds se fichent complètement des entreprises et vivent confortablement de leurs trafics en tout genre, oui! Au contraire, je suis intimement persuadé qu'une partie de la population verrait ces entreprises comme une tentative de colonisation du quartier. Il suffit de voir ce qui arrive aux pompiers, qui pourtant n'arrêtent et ne fliquent personne, mais viennent là en cas de difficultés; ils sont caillassés (ou autrement dit, sans langue de bois, lapidés)!
Amara déclare ensuite souhaiter faire venir les patrons pour rencontrer les jeunes via des discussions et des débats.
Vous voyez vraiment Bernard Arnaut aller discuter dans une cité délabrée de Seine Saint Denis avec des jeunes? Non mais franchement! Mme Amara réfléchit un peu avant de parler? Pour aller débattre de quoi?
Elle a terminé par déclarer vouloir "fixer à l'Etat et aux collectivités territoriales des objectifs de recrutement d'agents" issus des quartiers. «L'Etat doit être à la pointe de la lutte contre les discriminations.»
C'est vraiment la novlangue dans toute sa splendeur. Un coup, M Hortefeux parle de la nécessaire maîtrise des flux migratoires, et hop! il ouvre davantage nos frontières; un autre coup, c'est M Sarkozy qui parle d'un mini traité, mini traité qui fait quand même plusieurs milliers de pages. Là, c'est Fadela qui parle de lutter contre les discriminations en en créant. Discrimination: "action d'isoler et de traiter différemmebnt certaines personnes, un groupe par rapport aux autres". Mme Amara crée donc des discriminations.
L'Etat, d'un point de vue économique, n'a pas à remédier au chômage en employant des gens incapables de se trouver un travail. Il doit assurer ses fonctions régaliennes (justice, sécurité, contrôle des frontières, diplomatie, prison), ce que la France ne fait pas, et développer l'activité économique par des mesures adaptées, en libérant le travail et en assouplissant les charges et les contraintes, ainsi que le droit du travail. Pas en employant des millions de fonctionnaires inutiles par des emplois jeunes ou je ne sais quoi qui vont alourdir nos deficits.

D'autant plus, qu'encore une fois, ce serait la prime aux casseurs et incendiaires, au détriment des honnêtes gens. Mais c'est vrai qu'en France, pour se faire écouter, rien ne vaut l'incendie de voitures, l'occupation des routes, ou le saccage des voies ferrées, ou le blocage de ports. On est sûr de tomber sur un Etat qui va immédiatement accéder aux demandes effectuées, et qui évidemment ne sanctionnera personne. Même si les mesures demandées peuvent être justifiées (et c'est parfois le cas), la moindre des choses serait d'exiger l'arrêt des troubles avant toute discussion, et l'obtenir par la force en cas de refus. L'Etat n'a pas à discuter avec des bloqueurs ou des casseurs.

Confirmation de l'élargissement de l'espace Schengen

Le 21 décembre à minuit, l'espace européen de libre circulation incluera l'Europe Centrale. Cela veut dire que les visas délivrés par les pays d'Europe Centrale seront valables dans tout l'espace Schengen (c'est à dire y compris en France). Nous aurons donc des vagues d'immigrés tchèques venant en France. De plus, les contrôles entre les pays de l'Europe centrale et le reste de l'UE seront supprimés. Quand on sait le rôle de ces Etats dans les trafics en tout genre, il y a de quoi être inquiet.
Comment faire pour renvoyer les habitants de ces pays de l'UE chez eux? On paye! Comme on ne peut pas les expulser (liberté de circulation, suppression des frontières oblige), on paye! Un millier de Roumains ont accepté une aide de 150 euros pour retourner chez eux. Que vont-ils faire, d'après vous, sitôt rentrés? Revenir en France pour retoucher de nouvelles aides, oui! Il est grand temps de retrouver notre souveraineté afin de rétablir nos frontières et nos lois.

Bien entendu, la fausse droite sociale démocrate au pouvoir en France a décidé d'ouvrir largement ses frontières à l'immigration massive. M Hortefeux part du constat que l'immigration économique est beaucoup plus faible que l'immigration familiale et veut changer les proportions. Le constat n'est pas mauvais, mais pour y remédier il y a deux solutions: la première, la bonne, réduire drastiquement (et même supprimer) la délivrance de titres de séjour accordés pour raison familiale, la deuxième, la mauvaise, accorder plus d'autorisations de séjour pour raison économique. Evidemment, M Hortefeux a choisi la deuxième solution. 152 métiers seront ouverts totalement aux ressortissants des nouveaux Etats membres et 30 aux étrangers hors UE. Ce n'est pas l'immigration choisie qui se substitue à l'immigration subie, c'est une immigration qui se substitue à l'autre. Et les courbes sont d'ailleurs éloquentes: le nombre de titres de séjours délivrés a augmenté avec l'arrivée de la fausse droite au pouvoir en 2002. Certes, il a chuté ensuite, mais pour retrouver grosso modo le niveau d'avril 2002. En particulier, le nombre de titres de séjour délivrés pour raison familale a augmenté d'environ 20% par rapport à avril 2002.
Cette immigration massive de travailleurs sur un marché déjà saturé, où le chômage est à 9%, aura des effets catastrophiques, en provoquant mécaniquement une baisse des salaires.

Actualités politiques diverses

Le 26 octobre, c'était la réunion des cadres d'IDF au siège du MNR à Paris.
M Mégret, dans un discours percutant, fit l'analyse détaillée des échecs, renoncements de M Sarkozy, en revenant sur le prétendu service minimum ou l'escroquerie que constituent les tests ADN.
Devant cette politique brouillonne et inconsistante, le MNR se doit d'y répondre en investissant davantage la scène politique. Ainsi, le MNR entend bien jouer un rôle déterminant aux prochaines élections municipales. En 2001, malgré l'hostilité des medias et les manoeuvres diverses de certains, le MNR avait obtenu de brillants résultats; près de 200 conseillers municipaux en France, et également quelques mairies, de petits villages, comme Senuc, mais également de grandes villes, comme Vitrolles (comme par hasard, l'élection fut ensuite annulée par la justice).
Certes, le MNR, privé de son financement après le changement des règles par l'UMP, pénalisé par les nouvelles règles de candidature, comme la parité requise, ne fera sans doute pas aussi bien; mais il jouera tout de même un certain rôle. L'objectif que s'était fixé le MNR était également que ces élections municipales voient l'union des nationaux enfin réalisée. En attendant la réponse des uns et des autres, le MNR se mobilise.
Quel rôle pouvez vous jouer, vous?
Aider financièrement le MNR, qui est maintenant obligé de survivre avec ses fonds. L'impression d'affiches, de tracts, coûte cher.
Contacter la fédération départementale dans laquelle vous êtes si vous êtes disponible pour être candidat sur une liste MNR dans votre ville. En effet, la loi imose de présenter une liste comportant autant de noms qu'il y a de conseillers municipaux à pourvoir. C'est une disposition très clairement contre les petits partis qui ont beaucoup de mal à boucler leur liste, liste totalement inutile dans certaines villes où le petit parti sera déjà bien content d'avoir deux ou trois conseillers municipaux.
Militer pour la liste ainsi constituée.

Certains sans doute doivent hésiter. Il faut savoir que si personne ne fait rien, la seule opposition qui restera au bloc UMPS sera les derniers staliniens du PC et les ultimes trotskistes. Ce n'est pas cela que nous voulons. Alors, mobilisez vous!

Le 27 octobre, journée de la Synthèse nationale, revue animée par des anciens du Parti des Forces Nouvelles, concurrent éphémère du FN naissant, en 1972. Beaucoup de mouvements étaient présents, comme le Vlams Belang, les Identitaires, Alsace d'Abord, Solidarité des Français, et bien évidemment le MNR, qui a montré aux dernières élections sa volonté de réaliser l'union. M Touzé était venu semble t-il en son nom propre et non au nom du FN.

jeudi 8 novembre 2007

Trafic de 148 kg de cannabis à Illzach

Le journal l'Alsace relate la scène: "A la barre du tribunal correctionnel de Mulhouse, l'Illzachois Abdel Hakim Djeroud , 44 ans et le Strasbourgeois Mohamed Abed , 30 ans répondaient hier de trafic de cannabis aux cotés de deux complices lyonnais Kamel Boudebouz et Mohamed Belhachemi ....."
Mais, encore une fois, bien entendu, l'immigration n'a rien à voir avec la délinquance.

vendredi 2 novembre 2007

Islamisation

La joie du multiculturalisme à la sauce islamiste: des enseignants et élèves obligés de s'habiller en musulmans le jour de l'Aid, afin de promouvoir le multi culturalisme. Source (en anglais) ici.
Et c'est là qu'on voit un des dangers de l'islamisation: une partie des musulmans ne veut pas seulement vivre en tant que musulmans, elle veut également imposer ses habitudes et son mode de vie aux autochtones. Que les musulmans ne veuillent pas boire d'alcool, personnellement cela ne me fait ni chaud ni froid; qu'ils veuillent empêcher les autres d'en boire, c'est là où cela ne va plus. Bien entendu, aucune réciprocité dans les pays musulmans. A tous ceux qui sont déçus que cela se passe en Angleterre, rassurez-vous, nous y aurons bientôt droit. Les islamistes imposent patiemment leur mode de vie et habitude; d'abord l'immigration massive, puis l'autorisation de construire des mosquées, puis le financement des mosquées par le contribuable, puis des repas hallal dans les cantines lyonnaises, puis des horaires séparées hommes femmes dans les piscines, etc. Il ne manque plus que le droit de vote aux étrangers, quelques leaders médiatiques, et la France pourra devenir, en douceur, sans qu'on s'en aperçoive, une République islamique.
Une expérience que vous avez déjà fait des milliers de fois: vous plongez votre main dans un baquet d'eau bouillante, vous vous brûlez. Vous plongez votre main dans un baquet d'eau froide et vous augmentez progressivement la température, aucun problème.


Les imams intégristes: Des imams sous le coup d'une expulsion sont toujours en France, soutenues par différentes associations comme l'UOIF. Au ministère de l'Intérieur, on précise qu'il vaut mieux les garder sur le territoire, afin de faire "moins de vagues" et créer des obligés.
D'abord, l'imam non expulsé considère celui qui ne l'a pas expulsé comme un molasson, et généralement n'est pas reconnaissant. D'ailleurs, il en attribue le bienfait à Allah.
Ensuite, garder des imams intégristes en France, cela montre que les lobbies islamistes sont tellement puissants que l'on n'ose même plus appliquer les décisions de justice. C'est courir le risque que ces imams continuent leur propagande fanatique.