mardi 15 avril 2008

Et si l'Europe ne devait pas ses savoirs à l'islam?

Et c'est le Monde qui ose supposer une chose pareille! Ah là là, sûrement un ignoble islamophobe qui a infiltré la rédaction :) .
Voilà l'article:

Etonnante rectification des préjugés de l'heure, ce travail de Sylvain Gouguenheim va susciter débats et polémiques. Son thème : la filiation culturelle monde occidental-monde musulman. Sur ce sujet, les enjeux idéologiques et politiques pèsent lourd. Or cet universitaire des plus sérieux, professeur d'histoire médiévale à l'Ecole normale supérieure de Lyon, met à mal une série de convictions devenues dominantes. Ces dernières décennies, en suivant notamment Alain de Libera ou Mohammed Arkoun, Edward Saïd ou le Conseil de l'Europe, on aurait fait fausse route sur la part de l'islam dans l'histoire de la culture européenne.


Que croyons-nous donc ? En résumé, ceci : le savoir grec antique - philosophie, médecine, mathématique, astronomie -, après avoir tout à fait disparu d'Europe, a trouvé refuge dans le monde musulman, qui l'a traduit en arabe, l'a accueilli et prolongé, avant de le transmettre finalement à l'Occident, permettant ainsi sa renaissance, puis l'expansion soudaine de la culture européenne. Selon Sylvain Gouguenheim, cette vulgate n'est qu'un tissu d'erreurs, de vérités déformées, de données partielles ou partiales. Il désire en corriger, point par point, les aspects inexacts ou excessifs.

"AGES SOMBRES"

Y a-t-il vraiment eu rupture totale entre l'héritage grec antique et l'Europe chrétienne du haut Moyen Age ? Après l'effondrement définitif de l'Empire romain, les rares manuscrits d'Aristote ou de Galien subsistant dans des monastères n'avaient-ils réellement plus aucun lecteur capable de les déchiffrer ? Non, réplique Sylvain Gouguenheim. Même devenus ténus et rares, les liens avec Byzance ne furent jamais rompus : des manuscrits grecs circulaient, avec des hommes en mesure de les lire. Durant les prétendus "âges sombres", ces connaisseurs du grec n'ont jamais fait défaut, répartis dans quelques foyers qu'on a tort d'ignorer, notamment en Sicile et à Rome. On ne souligne pas que de 685 à 752 règne une succession de papes... d'origine grecque et syriaque ! On ignore, ou on oublie qu'en 758-763, Pépin le Bref se fait envoyer par le pape Paul Ier des textes grecs, notamment la Rhétorique d'Aristote.

Cet intérêt médiéval pour les sources grecques trouvait sa source dans la culture chrétienne elle-même. Les Evangiles furent rédigés en grec, comme les épîtres de Paul. Nombre de Pères de l'Eglise, formés à la philosophie, citent Platon et bien d'autres auteurs païens, dont ils ont sauvé des pans entiers. L'Europe est donc demeurée constamment consciente de sa filiation à l'égard de la Grèce antique, et se montra continûment désireuse d'en retrouver les textes. Ce qui explique, des Carolingiens jusqu'au XIIIe siècle, la succession des "renaissances" liées à des découvertes partielles.

La culture grecque antique fut-elle pleinement accueillie par l'islam ? Sylvain Gouguenheim souligne les fortes limites que la réalité historique impose à cette conviction devenue courante. Car ce ne furent pas les musulmans qui firent l'essentiel du travail de traduction des textes grecs en arabe. On l'oublie superbement : même ces grands admirateurs des Grecs que furent Al-Fârâbî, Avicenne et Averroès ne lisaient pas un mot des textes originaux, mais seulement les traductions en arabe faites par les Araméens... chrétiens !

Parmi ces chrétiens dits syriaques, qui maîtrisaient le grec et l'arabe, Hunayn ibn Ishaq (809-873), surnommé "prince des traducteurs", forgea l'essentiel du vocabulaire médical et scientifique arabe en transposant plus de deux cents ouvrages - notamment Galien, Hippocrate, Platon. Arabophone, il n'était en rien musulman, comme d'ailleurs pratiquement tous les premiers traducteurs du grec en arabe. Parce que nous confondons trop souvent "Arabe" et "musulman", une vision déformée de l'histoire nous fait gommer le rôle décisif des Arabes chrétiens dans le passage des oeuvres de l'Antiquité grecque d'abord en syriaque, puis dans la langue du Coran.

Une fois effectué ce transfert - difficile, car grec et arabe sont des langues aux génies très dissemblables -, on aurait tort de croire que l'accueil fait aux Grecs fut unanime, enthousiaste, capable de bouleverser culture et société islamiques. Sylvain Gouguenheim montre combien la réception de la pensée grecque fut au contraire sélective, limitée, sans impact majeur, en fin de compte, sur les réalités de l'islam, qui sont demeurées indissociablement religieuses, juridiques et politiques. Même en disposant des oeuvres philosophiques des Grecs, même en forgeant le terme de "falsafa" pour désigner une forme d'esprit philosophique apparenté, l'islam ne s'est pas véritablement hellénisé. La raison n'y fut jamais explicitement placée au-dessus de la révélation, ni la politique dissociée de la révélation, ni l'investigation scientifique radicalement indépendante.

Il conviendrait même, si l'on suit ce livre, de réviser plus encore nos jugements. Au lieu de croire le savoir philosophique européen tout entier dépendant des intermédiaires arabes, on devrait se rappeler le rôle capital des traducteurs du Mont-Saint-Michel. Ils ont fait passer presque tout Aristote directement du grec au latin, plusieurs décennies avant qu'à Tolède on ne traduise les mêmes oeuvres en partant de leur version arabe. Au lieu de rêver que le monde islamique du Moyen Age, ouvert et généreux, vint offrir à l'Europe languissante et sombre les moyens de son expansion, il faudrait encore se souvenir que l'Occident n'a pas reçu ces savoirs en cadeau. Il est allé les chercher, parce qu'ils complétaient les textes qu'il détenait déjà. Et lui seul en a fait l'usage scientifique et politique que l'on connaît.

Somme toute, contrairement à ce qu'on répète crescendo depuis les années 1960, la culture européenne, dans son histoire et son développement, ne devrait pas grand-chose à l'islam. En tout cas rien d'essentiel. Précis, argumenté, ce livre qui remet l'histoire à l'heure est aussi fort courageux.
ARISTOTE AU MONT SAINT-MICHEL. LES RACINES GRECQUES DE L'EUROPE CHRÉTIENNE de Sylvain Gouguenheim. Seuil, "L'Univers historique", 282 p., 21 €.

Roger-Pol Droit

Explosion en Iran dans une mosquée

Une explosion dans une mosquée bondée en Iran a fait 11 morts et 191 blessés. Les
autorités ont rejeté la thèse de l'attentat et penchent pour l'explosion de munitions provenant d'une exposition militaire qui s'était tenue récemment dans la mosquée.
Cette explosion appelle à s'interroger: s'agit-il vraiment d'un accident ou l'Iran préfère rejeter la piste terroriste pour ne pas avoir à révéler ses faiblesses intérieures? Au début, les autorités penchaient pour l'explosion d'une bombe. Une situation trouble, donc.
Egalement, est-ce fréquent que les mosquées servent à stocker des munitions? Vu le nombre de mosquées en France, on ne l'espère pas.

Un automobiliste arrache l'oreille d'un policier

Un automobiliste qui zigzaguait dans les rues d'Argenteuil a été arrêté une première fois par la police Quelques minutes plus tard, les policiers voient l'automobiliste brûler un feu rouge. Nouvelle arrestation, mais cette fois ci l'homme frappe un premier policier et mord l'oreile du second et en arrache un morceau.

Coup de chapeau pour un député UMP

Le représentant de la France au concours de l'Eurovision était un certain Sébastien
Tellier. Son chanson, écrite en anglais, et intitulée Sexuality, se voulait être une odyssée sexuelle. Le député UMP de l'Oise, François-Michel Gonnot, considérant que ce choix d'une chanson en anglais était "un mauvais signe adressé à toute la communauté
francophone", vient d'écrire à Christine Albanel, ministre de la culture, pour qu'une chanson en français représente la France au concours de l'Eurovision.

Elections au Népal, les anciens rebelles maoïstes gagnent

La seule monarchie hindouiste au monde, celle du Népal, pourrait bien disparaître, avec le résultat des élections d'une Assemblée constituante.
Retour en arrière: En 1996, les maoïstes du Parti communiste népalais maoïste prennent les armes. La guerre dure de longues années et fait plus de 13000 morts. Des
centaines de milliers de personnes doivent fuir les conflits. Le roi Gyanendra, afin de mieux lutter contre les rebelles, décide de dissoudre l'Assemblée et s'arroge les pleins pouvoirs. Les népalais se révoltent alors, et finalement l'Assemblée est réinstaurée et un gouvernement provisoire mis en place. Les maoïstes promettent de déposer les armes.
Les élections récentes ont vu la victoire des maoïstes qui se sont réintégrés dans le jeu démocratique, aux dépens du Parti du Congrès centriste et du Parti communiste népalais marxiste léniniste unifié.Les maoïstes devraient obtenir 30 à 40% des sièges. Le roi Gyanendra pourrait abdiquer rapidement.

Italie, victoire de la droite

ictoire de la droite en Italie ;


La droite a obtenu 167 sièges sur315 au Sénat, soit une confortable majorité absolue. La droite devrait obtenir également la majorité à la Chambre des Députés, avec, sur les 80% de bulletins dépouillés, 46.4% des voix contre 37.9% pour la gauche. Silvio Berlusconi revient donc aux affaires après avoir été battu d’extrême justesse en 2006 parRomano Prodi. Walter Veltroni, l’ex maire de Rome et adversaire principal de Berlusconi, a reconnu sa défaite.


Quelles sont les formations qui se présentaient?

Deux gros blocs se présentaient:à droite, le Peuple de la Liberté rassemblait ForzaItalia, et Alliance Nationale, droite légèrement plus conservatrice. La Ligue du Nord, régionaliste, contre l'imigration et l'Union Européenne, se présentait sur la même liste. A gauche, la formation principale était le Parti Démocrate.
Outre les deux blocs, trois autres formations se présentaient également au suffrage desItaliens .A droite, la Destra, la droite, se présentait toute seule avec un programme de défense des valeurs traditionnelles, de l’identité nationale et pour la justicesociale .Au centre, l’Union du centre, avait décidé cette fois ci de ne pas s’allier avec Berlusconi. Enfin, à gauche de la gauche, la formation arc en ciel, rassemblant des Verts et des communistes a fait seulement 3% contre 11.5% en 2006 et ne sera pas représenté au Sénat.

Berlusconi devra faire face à de gros problèmes ; à court terme, le ramassage d’ordures à Naples et le dossier Al Italia. A long terme, une dette très importante et une croissance économique atone.

Acharnement judiciaire contre Brigitte Bardot

Brigitte Bardot a dénoncé récemment les conditions d'abattage des animaux par les musulmans lors de l'Aïd El Kebir. Sa déclaration: "Il y en a marre d'être menés par le bout du nez par toute cette population qui nous détruit, détruit notre pays en imposant ses actes". Elle est poursuivie pour "provocation à la discrimination ou à la haine raciale", ce qui est stupide dans la mesure où Mme Bardot s'en prenait aux conditions d'abattage des animaux par les musulmans, qui ne forment pas une race mais une religion. Tout notre soutien à la courageuse Mme Bardot.

La LCR licencie!

Incroyable! La LCR qui nous tartine avec sa défense des travailleurs et sa lutte contre la patronat, vient de licencier un permanent, Christian Picquet! Et ce, alors que la LCR a fait de très bons résultats électoraux.Faites ce que je dis, pas ce que je fais, tel pourrait être le slogan de la LCR.
Motif avancé par la direction: Picquet n'assistait plus aux réunions de la direction.
En fait, il s'agit d'un licenciement politique, Christain Picquet ayant des vues divergentes avec la majorité de la LCR.

Les collabos islamolâtres de l'Union Européenne

STRASBOURG (Reuters) - L'assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe a invité mardi les 47 Etats membres à promouvoir l'intégration des immigrés et des citoyens issus de l'immigration, en majorité des musulmans, pour éviter que ceux-ci succombent aux sirènes de l'extrémisme.

"Il appartient aux gouvernements européens de s'attaquer aux causes qui forment le terreau fertile de l'extrémisme - pauvreté, discrimination et exclusion sociale", indique une résolution sur "les communautés musulmanes européennes face à l'extrémisme".


Le texte, adopté à l'unanimité, souligne la "gravité de la menace" en évoquant les attentats attribués à des extrémistes islamiques qui ont frappé, depuis 1995, Paris, New-York, Madrid, Istanbul et Londres.

L'intégration, estiment les parlementaires, passe par le droit de vote et d'éligibilité "au moins aux élections locales et régionales" ainsi que par une politique visant à éliminer "l'inégalité des chances", notamment en matière d'emploi et de scolarité.

Les Etats doivent également "supprimer tout obstacle juridique ou administratif sans objet à la construction d'un nombre suffisant" de mosquées.


Gilbert Reilhac


Quand les technocrates bruxellois comprendront que la pauvreté n'a rien à voir avec le terrorisme?
Comparé à un paysan indien, un immigré en France vit comme un roi, et même comparé à un habitant resté au pays. De même, en France, les populations des zones désindustrialisées du Nord sont pauvres et souffrent du chômage; se révoltent-ils? Non. Les immigrés Chinois ou Indiens se révoltent-ils? A t-on vu de nombreux Indiens saccager les arrêts de bus, et incendier les voitures? Non. Oussam Ben Laden était-il pauvre? Non. Même (et j'ai envie de dire: surtout) dans les pays arabo musulmans, il y a du terrorisme. Les fanatiques du GIA ont-ils pris les armes parce qu'ils se sentaient discriminés par le reste de la population algérienne? Soyons sérieux!
Les raisons du terrorisme et de la violence sont à chercher ailleurs, dans l'islam et la volonté de conquête, djihad de certains immigrés Africains ou maghrébins. La preuve que le Conseil de l'Europe reconnaît lui-même que la question de l'islam n'est pas étrangère à la violence et au terrorisme, c'est qu'il parle principalement des communautés musulmanes.

Les solutions? Pas l'assimilation, qui apparemment n'est même pas évoquée, tout juste l'intégration. Et comment le Conseil de l'Europe veut favoriser l'intégration? Par le droit de vote et la construction de mosquées.
Les constructions de mosquée ont-elles favorisé l'intégration jusqu'à présent? Le Monde dans un article que j'ai publié récemment mentionnait les filières d'envoi des jeunes en Irak, et les entraînements à l'arme à feu. Des mosquées intégristes prolifèrent en France, dirigées par des salafistes ou des wahhabites. Les construire (avec quel argent? Celui du contribuable?) ne changera en rien la mentalité de l'immigré musulman, qui en profitera surtout pour réclamer davantage. Les musulmans fonctionnent pas après pas, revendication après revendication. Dans quelques années, ce sera la Sharia qu'ils demanderont.
Pour le droit de vote, qui est déjà accordé à l'échelon local, il n'a jamais favorisé l'intégration. Des immigrés ont créé des listes arabes ou musulmanes en s'occupant exclusivement de problèmes concernant l'islam, comme le port du voile ou la lutte contre "l'islamophobie". En fait, quand on a 10 millions de musulmans en France, leur donner le droit de vote, ce n'est pas favoriser leur intégration, mais c'est provoquer la désintégration de la France.
On ne comprend pas non plus très bien pourquoi les immigrés de l'ancien temps (Polonais, Italiens) se sont relativement bien intégrés sans machins antiracistes, droit de vote, et dispositions spéciales, et que les nouveaux immigrés n'y arrivent plus.
En guise de conclusion, je rappellerais aux immmigrés que s'ils ne sont pas contents en France et qu'il se sentent discriminés, qu'ils peuvent toujours partir quand ils veulent. Non, c'est vrai, cela, on pouyrrait croire que la France est un pays raciste et xénophobe (d'après les messages de la Halde et du MRAP), alors que dans le même temps des centaines de milliers d'immigrés rentrent chez nous chaque année et que quasiment personne ne part; pire, que les mêmes associations, qui considèrent que les immigrés sont très souvent malmenés, discriminés et victimes du racisme, protestent quand on veut les expulser.

Communiqué des Identitaires

Chers amis,

Après l’immense succès de la Convention Identitaire (voir la vidéo de la Convention ici), après les très bons résultats des Identitaires aux élections municipales à Nice, après l’ouverture d’une nouvelle maison identitaire flamande (la Vlaams Huis), après la réussite des derniers dîners débats identitaires à Paris ou à Lille, le Bloc Identitaire et les Jeunesses Identitaires entendent développer leurs actions et passer à une vitesse de développement supérieure.

Si nos moyens financiers nous le permettent, nous organiserons un grand meeting à Paris à la fin mai 2008 tandis que le militantisme classique (diffusion de tracts, d’affiches, d’autocollants…) et la formation politique des jeunes restent des priorités qui nécessitent de l’argent.

Nous avons donc besoin de vos dons.

Pour pouvoir bénéficier d’un reçu fiscal ouvrant droit à une déduction fiscale de 66 %, les Identitaires vous invitent à procéder à des dons par chèque à l’ordre de l’association « CITE » à envoyer à l’adresse suivante : NR, BP 13, 06 301 NICE Cedex 4.

Un don de 100 euros ne vous coûtera réellement que 34 euros, un don de 500 euros ne vous coûtera que 170 euros, etc…

La délivrance d’un reçu fiscal anonyme, établi par CITE permettra une discrétion absolue.

Merci d’avance pour votre générosité.

Les Identitaires/Bloc Identitaire/Jeunesses Identitaires