Sarkozy et son gouvernement veulent imposer le TCE aux Français, méprisant ainsi le referendum de 2005. C'est un coup de force anti démocratique.
Le collectif France Indépendance appelle donc à manifester place de l'Opéra, le 11 novembre, à partir de 14h30.
Un texte surprenant trouvé sur le blog de VGE. Les extraits les plus significatifs:
en quoi le traité de Lisbonne diffère-t-il du projet de traité constitutionnel ? La différence porte davantage sur la méthode que sur le contenu.[...]Le traité de Lisbonne se présente ainsi comme un catalogue d’amendements aux traités antérieurs. Il est illisible pour les citoyens, qui doivent constamment se reporter aux textes des traités de Rome et de Maastricht, auxquels s’appliquent ces amendements. Voilà pour la forme.
Si l’on en vient maintenant au contenu, le résultat est que les propositions institutionnelles du Traité constitutionnel – les seules qui comptaient pour les Membres de la Convention – se retrouvent intégralement dans le traité de Lisbonne mais dans un ordre différent et répartis dans les traités antérieurs.
Il y a cependant quelques différences. Trois d’entre elles méritent d’être notées.
1)D’abord le mot « Constitution » et l’adjectif « constitutionnel » sont bannis du texte [...]
2)Et l’on supprime du même coup la mention des symboles de l’Union : le drapeau européen, qui flotte partout, et l’hymne européen emprunté à Beethoven. Quoique ridicules, et destinées heureusement à rester inappliquées [...]
Concernant, ensuite, les réponses apportées aux demandes formulées en France par certains adversaires du Traité constitutionnel, il faut constater qu’elles représentent davantage des satisfactions de politesse que des modifications substantielles.[...]
3)Des concessions aux Britanniques[...]
On constate bien, comme je le disais, que le texte des articles du Traité constitutionnel est pratiquement inchangé mais qu’il se trouve dispersé sous forme d’amendements aux Traités antérieurs, eux-mêmes réaménagés. On est évidemment loin de la simplification. Il suffit de consulter les tables des matières des trois traités pour le mesurer ! Quel est l’intérêt de cette subtile manœuvre ? D’abord et avant tout d’échapper à la contrainte du recours au référendum, grâce à la dispersion des articles, et au renoncement au vocabulaire constitutionnel.
Mais c’est aussi, pour les institutions bruxelloises, une manière habile de reprendre la main.[...]
La phase suivante sera celle des ratifications. Elle ne devrait pas rencontrer de grandes difficultés – en dehors de la Grande-Bretagne où un référendum aboutirait manifestement à un rejet -, car la complication du texte, et son abandon des grandes ambitions suffisent pour en gommer les aspérités.[...]
Mais soulevons le couvercle, et regardons dans la boîte : les outils sont bien là, tels que les avaient soigneusement élaborés la Convention européenne, des outils innovants et performants : la Présidence stable, la Commission réduite et recentrée, le Parlement législateur de plein droit, le Ministre des Affaires étrangères en dépit de sa casquette trop étroite, la prise de décisions à la double majorité, celle des Etats et celle des citoyens, et la charte des droits fondamentaux la plus avancée de notre planète.
Merci Giscard d'Estaing, merci de ces aveux! Si l'on récapitule, VGE reconnaît que tous les points que nous critiquions concernant le TCE se retrouvent in extenso dans le traité de Lisbonne: un Président de l'Union (premier symbole d'un Etat), une commission réduite (c'est à dire la perte du droit de veto pour la Franc, on passe à la règle de la majorité, comme VGE le confirme, c'est à dire que les Lettons auront un droit de regard et de contrôle sur ce que nous voulons faire), un ministre des Affaires Etrangères (c'est à dire une politique étrangère commune, donc une perte d'indépendance de la France concernant un pooint important de ses fonctions régaliennes), et une charte avec des "droits", des droits partout, avec des noms de chapitre aussi plats que "solidarité" ou citoyenneté.
Certes, il y a trois petites différences, le terme "constitution" a été abandonné, ce qui ne change pas grand chose, les symboles ont été écartés mais, come le souligne VGE, la décision sera inappliquée (i e un texte pourra toujours être voté plus tard pour donner un statut à ces symboles, et en attendant, on continue à les utiliser, que ce soit sur les plaques de voiture ou la photo officielle du président pour le drapeau de l'UE, ou pendant les défilés de l'ex Fête nationale), et enfin des concessions ont été faites aux Britanniques. Britanniques qui, eux, ont le courage de demander des modifications! VGE souligne que le président n'a rien obtenu de concret. Egalement, que le traité est tout sauf simplifié, et que cela a été fait exprès pour écarter les referenda, referenda, qui donneraient probablement des résultats négatifs.
En gros, VGE confirme toutes les raisons pour lesquelles on ne veut pas de ce texte.
Edit: en relisant mon message, je me suis aperçu -crime suprême!- que je reprenais une expression de M Le Pen dans cet article. Je vous laisse chercher laquelle.
vendredi 9 novembre 2007
Amara en remet une couche sur les discriminations
Les vilaines discriminations n'ont qu'à bien se tenir! Super Amara est là!
Fadela déclare qu'elle veut inciter les entreprises du CAC 40 à investir dans les quartiers. On notera le caractère euphémique du terme.
Il faudrait plutôt se demander: "pourquoi les entreprises du CAC 40 n'investissent pas dans les fameux quartiers?" Peut-être est-ce parce qu'elles n'ont pas envie de voir leurs locaux incendiés? Parce qu'ils savent que ce sera difficile de trouver des employés parlant correctement français, bien intégrés? Parce que les entreprises du CAC 40 n'ont pas envie de surpayer des cadres pour qu'ils acceptent de travailler dans ces quartiers, alors que dans d'autres zones, tout se passe beaucoup mieux?
C'est un peu facile de demander aux entreprises du CAC 40 d'aller investir dans ces fameux quartiers (au détriment d'autres endroits qui accueilleraient avec plaisir des entreprises mais dont les habitants ont le double tort de s'appeler Jean-Pierre ou Mathieu mais pas Rachid ou Djamel, et qui ne cassent pas les voitures), quand on ne prend pas la peine d'assurer des éléments essentiels au développement économique, comme la sécurité.
Les habitants des quartiers veulent-ils vraiment qu'il y ait des entreprises? Franchement, je n'en ai pas l'impression? Les caïds se fichent complètement des entreprises et vivent confortablement de leurs trafics en tout genre, oui! Au contraire, je suis intimement persuadé qu'une partie de la population verrait ces entreprises comme une tentative de colonisation du quartier. Il suffit de voir ce qui arrive aux pompiers, qui pourtant n'arrêtent et ne fliquent personne, mais viennent là en cas de difficultés; ils sont caillassés (ou autrement dit, sans langue de bois, lapidés)!
Amara déclare ensuite souhaiter faire venir les patrons pour rencontrer les jeunes via des discussions et des débats.
Vous voyez vraiment Bernard Arnaut aller discuter dans une cité délabrée de Seine Saint Denis avec des jeunes? Non mais franchement! Mme Amara réfléchit un peu avant de parler? Pour aller débattre de quoi?
Elle a terminé par déclarer vouloir "fixer à l'Etat et aux collectivités territoriales des objectifs de recrutement d'agents" issus des quartiers. «L'Etat doit être à la pointe de la lutte contre les discriminations.»
C'est vraiment la novlangue dans toute sa splendeur. Un coup, M Hortefeux parle de la nécessaire maîtrise des flux migratoires, et hop! il ouvre davantage nos frontières; un autre coup, c'est M Sarkozy qui parle d'un mini traité, mini traité qui fait quand même plusieurs milliers de pages. Là, c'est Fadela qui parle de lutter contre les discriminations en en créant. Discrimination: "action d'isoler et de traiter différemmebnt certaines personnes, un groupe par rapport aux autres". Mme Amara crée donc des discriminations.
L'Etat, d'un point de vue économique, n'a pas à remédier au chômage en employant des gens incapables de se trouver un travail. Il doit assurer ses fonctions régaliennes (justice, sécurité, contrôle des frontières, diplomatie, prison), ce que la France ne fait pas, et développer l'activité économique par des mesures adaptées, en libérant le travail et en assouplissant les charges et les contraintes, ainsi que le droit du travail. Pas en employant des millions de fonctionnaires inutiles par des emplois jeunes ou je ne sais quoi qui vont alourdir nos deficits.
D'autant plus, qu'encore une fois, ce serait la prime aux casseurs et incendiaires, au détriment des honnêtes gens. Mais c'est vrai qu'en France, pour se faire écouter, rien ne vaut l'incendie de voitures, l'occupation des routes, ou le saccage des voies ferrées, ou le blocage de ports. On est sûr de tomber sur un Etat qui va immédiatement accéder aux demandes effectuées, et qui évidemment ne sanctionnera personne. Même si les mesures demandées peuvent être justifiées (et c'est parfois le cas), la moindre des choses serait d'exiger l'arrêt des troubles avant toute discussion, et l'obtenir par la force en cas de refus. L'Etat n'a pas à discuter avec des bloqueurs ou des casseurs.
Fadela déclare qu'elle veut inciter les entreprises du CAC 40 à investir dans les quartiers. On notera le caractère euphémique du terme.
Il faudrait plutôt se demander: "pourquoi les entreprises du CAC 40 n'investissent pas dans les fameux quartiers?" Peut-être est-ce parce qu'elles n'ont pas envie de voir leurs locaux incendiés? Parce qu'ils savent que ce sera difficile de trouver des employés parlant correctement français, bien intégrés? Parce que les entreprises du CAC 40 n'ont pas envie de surpayer des cadres pour qu'ils acceptent de travailler dans ces quartiers, alors que dans d'autres zones, tout se passe beaucoup mieux?
C'est un peu facile de demander aux entreprises du CAC 40 d'aller investir dans ces fameux quartiers (au détriment d'autres endroits qui accueilleraient avec plaisir des entreprises mais dont les habitants ont le double tort de s'appeler Jean-Pierre ou Mathieu mais pas Rachid ou Djamel, et qui ne cassent pas les voitures), quand on ne prend pas la peine d'assurer des éléments essentiels au développement économique, comme la sécurité.
Les habitants des quartiers veulent-ils vraiment qu'il y ait des entreprises? Franchement, je n'en ai pas l'impression? Les caïds se fichent complètement des entreprises et vivent confortablement de leurs trafics en tout genre, oui! Au contraire, je suis intimement persuadé qu'une partie de la population verrait ces entreprises comme une tentative de colonisation du quartier. Il suffit de voir ce qui arrive aux pompiers, qui pourtant n'arrêtent et ne fliquent personne, mais viennent là en cas de difficultés; ils sont caillassés (ou autrement dit, sans langue de bois, lapidés)!
Amara déclare ensuite souhaiter faire venir les patrons pour rencontrer les jeunes via des discussions et des débats.
Vous voyez vraiment Bernard Arnaut aller discuter dans une cité délabrée de Seine Saint Denis avec des jeunes? Non mais franchement! Mme Amara réfléchit un peu avant de parler? Pour aller débattre de quoi?
Elle a terminé par déclarer vouloir "fixer à l'Etat et aux collectivités territoriales des objectifs de recrutement d'agents" issus des quartiers. «L'Etat doit être à la pointe de la lutte contre les discriminations.»
C'est vraiment la novlangue dans toute sa splendeur. Un coup, M Hortefeux parle de la nécessaire maîtrise des flux migratoires, et hop! il ouvre davantage nos frontières; un autre coup, c'est M Sarkozy qui parle d'un mini traité, mini traité qui fait quand même plusieurs milliers de pages. Là, c'est Fadela qui parle de lutter contre les discriminations en en créant. Discrimination: "action d'isoler et de traiter différemmebnt certaines personnes, un groupe par rapport aux autres". Mme Amara crée donc des discriminations.
L'Etat, d'un point de vue économique, n'a pas à remédier au chômage en employant des gens incapables de se trouver un travail. Il doit assurer ses fonctions régaliennes (justice, sécurité, contrôle des frontières, diplomatie, prison), ce que la France ne fait pas, et développer l'activité économique par des mesures adaptées, en libérant le travail et en assouplissant les charges et les contraintes, ainsi que le droit du travail. Pas en employant des millions de fonctionnaires inutiles par des emplois jeunes ou je ne sais quoi qui vont alourdir nos deficits.
D'autant plus, qu'encore une fois, ce serait la prime aux casseurs et incendiaires, au détriment des honnêtes gens. Mais c'est vrai qu'en France, pour se faire écouter, rien ne vaut l'incendie de voitures, l'occupation des routes, ou le saccage des voies ferrées, ou le blocage de ports. On est sûr de tomber sur un Etat qui va immédiatement accéder aux demandes effectuées, et qui évidemment ne sanctionnera personne. Même si les mesures demandées peuvent être justifiées (et c'est parfois le cas), la moindre des choses serait d'exiger l'arrêt des troubles avant toute discussion, et l'obtenir par la force en cas de refus. L'Etat n'a pas à discuter avec des bloqueurs ou des casseurs.
Confirmation de l'élargissement de l'espace Schengen
Le 21 décembre à minuit, l'espace européen de libre circulation incluera l'Europe Centrale. Cela veut dire que les visas délivrés par les pays d'Europe Centrale seront valables dans tout l'espace Schengen (c'est à dire y compris en France). Nous aurons donc des vagues d'immigrés tchèques venant en France. De plus, les contrôles entre les pays de l'Europe centrale et le reste de l'UE seront supprimés. Quand on sait le rôle de ces Etats dans les trafics en tout genre, il y a de quoi être inquiet.
Comment faire pour renvoyer les habitants de ces pays de l'UE chez eux? On paye! Comme on ne peut pas les expulser (liberté de circulation, suppression des frontières oblige), on paye! Un millier de Roumains ont accepté une aide de 150 euros pour retourner chez eux. Que vont-ils faire, d'après vous, sitôt rentrés? Revenir en France pour retoucher de nouvelles aides, oui! Il est grand temps de retrouver notre souveraineté afin de rétablir nos frontières et nos lois.
Bien entendu, la fausse droite sociale démocrate au pouvoir en France a décidé d'ouvrir largement ses frontières à l'immigration massive. M Hortefeux part du constat que l'immigration économique est beaucoup plus faible que l'immigration familiale et veut changer les proportions. Le constat n'est pas mauvais, mais pour y remédier il y a deux solutions: la première, la bonne, réduire drastiquement (et même supprimer) la délivrance de titres de séjour accordés pour raison familiale, la deuxième, la mauvaise, accorder plus d'autorisations de séjour pour raison économique. Evidemment, M Hortefeux a choisi la deuxième solution. 152 métiers seront ouverts totalement aux ressortissants des nouveaux Etats membres et 30 aux étrangers hors UE. Ce n'est pas l'immigration choisie qui se substitue à l'immigration subie, c'est une immigration qui se substitue à l'autre. Et les courbes sont d'ailleurs éloquentes: le nombre de titres de séjours délivrés a augmenté avec l'arrivée de la fausse droite au pouvoir en 2002. Certes, il a chuté ensuite, mais pour retrouver grosso modo le niveau d'avril 2002. En particulier, le nombre de titres de séjour délivrés pour raison familale a augmenté d'environ 20% par rapport à avril 2002.
Cette immigration massive de travailleurs sur un marché déjà saturé, où le chômage est à 9%, aura des effets catastrophiques, en provoquant mécaniquement une baisse des salaires.
Comment faire pour renvoyer les habitants de ces pays de l'UE chez eux? On paye! Comme on ne peut pas les expulser (liberté de circulation, suppression des frontières oblige), on paye! Un millier de Roumains ont accepté une aide de 150 euros pour retourner chez eux. Que vont-ils faire, d'après vous, sitôt rentrés? Revenir en France pour retoucher de nouvelles aides, oui! Il est grand temps de retrouver notre souveraineté afin de rétablir nos frontières et nos lois.
Bien entendu, la fausse droite sociale démocrate au pouvoir en France a décidé d'ouvrir largement ses frontières à l'immigration massive. M Hortefeux part du constat que l'immigration économique est beaucoup plus faible que l'immigration familiale et veut changer les proportions. Le constat n'est pas mauvais, mais pour y remédier il y a deux solutions: la première, la bonne, réduire drastiquement (et même supprimer) la délivrance de titres de séjour accordés pour raison familiale, la deuxième, la mauvaise, accorder plus d'autorisations de séjour pour raison économique. Evidemment, M Hortefeux a choisi la deuxième solution. 152 métiers seront ouverts totalement aux ressortissants des nouveaux Etats membres et 30 aux étrangers hors UE. Ce n'est pas l'immigration choisie qui se substitue à l'immigration subie, c'est une immigration qui se substitue à l'autre. Et les courbes sont d'ailleurs éloquentes: le nombre de titres de séjours délivrés a augmenté avec l'arrivée de la fausse droite au pouvoir en 2002. Certes, il a chuté ensuite, mais pour retrouver grosso modo le niveau d'avril 2002. En particulier, le nombre de titres de séjour délivrés pour raison familale a augmenté d'environ 20% par rapport à avril 2002.
Cette immigration massive de travailleurs sur un marché déjà saturé, où le chômage est à 9%, aura des effets catastrophiques, en provoquant mécaniquement une baisse des salaires.
Actualités politiques diverses
Le 26 octobre, c'était la réunion des cadres d'IDF au siège du MNR à Paris.
M Mégret, dans un discours percutant, fit l'analyse détaillée des échecs, renoncements de M Sarkozy, en revenant sur le prétendu service minimum ou l'escroquerie que constituent les tests ADN.
Devant cette politique brouillonne et inconsistante, le MNR se doit d'y répondre en investissant davantage la scène politique. Ainsi, le MNR entend bien jouer un rôle déterminant aux prochaines élections municipales. En 2001, malgré l'hostilité des medias et les manoeuvres diverses de certains, le MNR avait obtenu de brillants résultats; près de 200 conseillers municipaux en France, et également quelques mairies, de petits villages, comme Senuc, mais également de grandes villes, comme Vitrolles (comme par hasard, l'élection fut ensuite annulée par la justice).
Certes, le MNR, privé de son financement après le changement des règles par l'UMP, pénalisé par les nouvelles règles de candidature, comme la parité requise, ne fera sans doute pas aussi bien; mais il jouera tout de même un certain rôle. L'objectif que s'était fixé le MNR était également que ces élections municipales voient l'union des nationaux enfin réalisée. En attendant la réponse des uns et des autres, le MNR se mobilise.
Quel rôle pouvez vous jouer, vous?
Aider financièrement le MNR, qui est maintenant obligé de survivre avec ses fonds. L'impression d'affiches, de tracts, coûte cher.
Contacter la fédération départementale dans laquelle vous êtes si vous êtes disponible pour être candidat sur une liste MNR dans votre ville. En effet, la loi imose de présenter une liste comportant autant de noms qu'il y a de conseillers municipaux à pourvoir. C'est une disposition très clairement contre les petits partis qui ont beaucoup de mal à boucler leur liste, liste totalement inutile dans certaines villes où le petit parti sera déjà bien content d'avoir deux ou trois conseillers municipaux.
Militer pour la liste ainsi constituée.
Certains sans doute doivent hésiter. Il faut savoir que si personne ne fait rien, la seule opposition qui restera au bloc UMPS sera les derniers staliniens du PC et les ultimes trotskistes. Ce n'est pas cela que nous voulons. Alors, mobilisez vous!
Le 27 octobre, journée de la Synthèse nationale, revue animée par des anciens du Parti des Forces Nouvelles, concurrent éphémère du FN naissant, en 1972. Beaucoup de mouvements étaient présents, comme le Vlams Belang, les Identitaires, Alsace d'Abord, Solidarité des Français, et bien évidemment le MNR, qui a montré aux dernières élections sa volonté de réaliser l'union. M Touzé était venu semble t-il en son nom propre et non au nom du FN.
M Mégret, dans un discours percutant, fit l'analyse détaillée des échecs, renoncements de M Sarkozy, en revenant sur le prétendu service minimum ou l'escroquerie que constituent les tests ADN.
Devant cette politique brouillonne et inconsistante, le MNR se doit d'y répondre en investissant davantage la scène politique. Ainsi, le MNR entend bien jouer un rôle déterminant aux prochaines élections municipales. En 2001, malgré l'hostilité des medias et les manoeuvres diverses de certains, le MNR avait obtenu de brillants résultats; près de 200 conseillers municipaux en France, et également quelques mairies, de petits villages, comme Senuc, mais également de grandes villes, comme Vitrolles (comme par hasard, l'élection fut ensuite annulée par la justice).
Certes, le MNR, privé de son financement après le changement des règles par l'UMP, pénalisé par les nouvelles règles de candidature, comme la parité requise, ne fera sans doute pas aussi bien; mais il jouera tout de même un certain rôle. L'objectif que s'était fixé le MNR était également que ces élections municipales voient l'union des nationaux enfin réalisée. En attendant la réponse des uns et des autres, le MNR se mobilise.
Quel rôle pouvez vous jouer, vous?
Aider financièrement le MNR, qui est maintenant obligé de survivre avec ses fonds. L'impression d'affiches, de tracts, coûte cher.
Contacter la fédération départementale dans laquelle vous êtes si vous êtes disponible pour être candidat sur une liste MNR dans votre ville. En effet, la loi imose de présenter une liste comportant autant de noms qu'il y a de conseillers municipaux à pourvoir. C'est une disposition très clairement contre les petits partis qui ont beaucoup de mal à boucler leur liste, liste totalement inutile dans certaines villes où le petit parti sera déjà bien content d'avoir deux ou trois conseillers municipaux.
Militer pour la liste ainsi constituée.
Certains sans doute doivent hésiter. Il faut savoir que si personne ne fait rien, la seule opposition qui restera au bloc UMPS sera les derniers staliniens du PC et les ultimes trotskistes. Ce n'est pas cela que nous voulons. Alors, mobilisez vous!
Le 27 octobre, journée de la Synthèse nationale, revue animée par des anciens du Parti des Forces Nouvelles, concurrent éphémère du FN naissant, en 1972. Beaucoup de mouvements étaient présents, comme le Vlams Belang, les Identitaires, Alsace d'Abord, Solidarité des Français, et bien évidemment le MNR, qui a montré aux dernières élections sa volonté de réaliser l'union. M Touzé était venu semble t-il en son nom propre et non au nom du FN.
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