mercredi 18 juillet 2007

Communiqué du MNR

Pour permettre les constructions de mosquées avec l’argent des contribuables, les municipalités ont recours à des dispositifs variés. Par exemple, la création de centres à la fois cultuels et «culturels » dont la partie culturelle sera
subventionnée, les baux emphytéotiques mettant gratuitement des terrains à disposition des associations musulmanes, des garanties d’emprunts, ou encore la
récente ordonnance Sarkozy permettant « l’affectation à une association cultuelle d’un lieu de culte »…

Des pratiques illégales

Or, tous ces dispositifs sont totalement illégaux car ils visent à « contourner »,pour ne pas dire ouvertement fouler aux pieds la loi de 1905 et particulièrement
son article 2 : « La République ne reconnaît, ni ne salarie, ni ne subventionne
aucun culte ». Cette interprétation se trouve aujourd’hui confirmée par les tribunaux administratifs dans de récents jugements. Ainsi à Créteil, les élus municipaux Lysiane Choukroun et Robert Dupont ont empêché au printemps dernier le versement d’une subvention d’un million d’euros pour la construction d’une mosquée. Le député-maire Cathala pensait être inattaquable en consentant un bail emphytéotique au profit non d’une association, mais d’une société de droit privé… à laquelle le préfet lui a rappelé que le versement d’une subvention était illégal ! La complexification du montage juridicofinancier mis en oeuvre (SCI, association culturelle, association
cultuelle) ne résiste cependant pas à un examen selon les principes de la loi de 1905. Les élus MNR ont également déposé deux recours, l’un contre le bail emphytéotique, et l’autre contre le versement d’une nouvelle subvention d’un million et demi d’euros assortie d’une garantie d’emprunt. À Marseille, Hubert Savon et notre président Bruno Mégret ont obtenu ce printemps l’annulation du bail emphytéotique consenti par la municipalité moyennant un loyer ridicule (0,33 euro le m2 !), qualifié de « subvention déguisée contraire à la loi de 1905 » par le tribunal administratif. Un nouveau bail devrait être adopté, réévaluant le loyer de
300 à 24 000 euros, contre lequel un nouveau recours sera bien sûr déposé.
À Montreuil, dans les mêmes conditions, Patricia Vayssière a obtenu l’annulation du
bail emphytéotique consenti moyennant un loyer « d’un euro symbolique ». Au mépris du
jugement rendu public le 19 juin, le députémaire Jean-Pierre Brard vient de faire adopter un nouveau bail, contre lequel l’élue a immédiatement déposé un nouveau recours. Faire reculer l’islamisation Ces victoires juridiques inquiètent jusqu’au
ministère de l’Intérieur, car une accumulation de jugements en ce sens ou un arrêt du
Conseil d’État rendraient caducs tous les dispositifs de « contournements » utilisés
jusqu’à maintenant ou obligeraient à une révision de la loi de 1905... Cette loi reste donc notre dernier rempart contre l’islamisation. Il faut aussi savoir que les décisions d’une municipalité, même prises en toute illégalité, ne peuvent être annulées que par la censure du tribunal administratif saisi par le préfet, par un élu municipal ou par un contribuable de la commune. Plus nous serons nombreux à mener ce typed’action, plus nous ferons reculer l’islamisation!
Patricia Vayssière
Conseillère municipale MNR
de Montreuil-sous-Bois

Les délires de l'antiracisme

L'antiracisme continue à faire parler de lui. Entendons nous bien, l'appellation antiraciste est totalement usurpée. Pas plus que le communisme n'avait pour but de faire reculer la pauvreté, l'antiracisme n'a pour but de faire reculer le racisme. Au contraire, l'antiracisme utilise les iigrés, et par ses actions provoque et attise le racisme, tout comme le communisme ne fait qu'étendre la pauvreté.
Nous avions parlé de Mme Rachida Dati, de son incompétence, des démission successives de son directeur de cabinet (pour insultes), de trois de ses collaborateurs, de la mise en cause de deux de ses frères dans des trafics de drogues et le conflit d'intérêt qui en découle. Mais Mme Dati a des défenseurs; le licrasseux Partick Gaubert explique qu'elle est est "victime, du fait de la consonance de son patronyme, d'une campagne injuste"; les chiens de garde de SOS Racisme en rajoutent:" Rachida Dati paie, dès son arrivée, le prix fort d'être la première personne issue de l'immigration maghrébine à accéder à une telle responsabilité gouvernementale".
A ce point là, cela en devient atterant. Si on comprend bien ces nouveaux censeurs, on ne peut pas dire que les collaborateurs de Mme Dati ont démissionné, parce que Mme Dati est d'origine maghrébine! C'est bien sûr absolument grotesque; chacun a droit a être informé de ce qu'il se passe. Concernant le patronyme, c'est Mme Dati qui a choisi de ne pas le changer; rien ne lui interdisait de déposer une demande pour s'appeller Marguerite, et faire franciser son nom. Les personnes qui ont nom à consonnance étrangère ont fait un choix, celui de ne pas le changer. Comment ensuite se plaindre des conséquences? Ou les attaques sont abominables et dans ce cas là elle change de nom, ou elle garde son nom et évite de se plaindre par lobby interposé (on remarquera que Mme Dati n'a pas démenti les communiqués, donc cela veut dire qu'elle les aprouve). Prétendre qu'on s'intéresse aux frères de Mme Dati et qu'on dénonce le trafic de drogue uniquement parce que Mme Dati est maghrébine, c'est ridicule; cela voudrait dire qu'on aurait rien dit si Mme Dati s'appellait Anne Dupont?
Personne n'a hurlé à l'anticatholicisme quand on s'est penché sur l'appartement de M Gaymard, à juste titre d'ailleurs; les gens qui ont dénoncé la situation de M Gaymard l'auraient fait que M Gaymard fût bouddhiste, hindouiste, athé ou autre. C'est une espèce de racisme à l'envers, qui est en train de se développer: on ne peut plus rien faire ou dire à l'encontre d'un noir, d'un maghrébin ou d'un homosexuel sans être suspecté d'être raciste, islamophobe ou homophobe. Ceux là sont devenus intouchables.
Je ne sais plus trop quel joueur de foot s'était durant un match de foot, pincé le nez. Une poussière dans le nez? Le nez qui le grattait? Une odeur désagréable venant du gazon? Une manie bien innocente? Pas du tout! En effet, un joueur noir était à proximité. Evidemment, d'après la logique antiraciste, le joueur s'était bouché le nez pour faire croire que ce joueur sentait mauvais, et donc que c'était du racisme envers les noirs. Et notre joueur d'expliquer, après le match, que bien évidemment il n'était pas raciste, qu'il présentait ses excuses pour avoir offensé le noir, etc. Déjà, on ne peut même plus regarder un noir, certains d'entre eux considérant comme une offense que les misérables Blancs que nous sommes osent lever les yeux sur leurs Seigneuries. Une anecdote que m'a racontée un ami; il me disait qu'un de ses amis était assis tranquillement sur un banc, à Paris, en train de lire. Soudain, il entend du bruit à côté de lui. Réflexe logique, il lève la tête de son ouvrage. Pas de chance, c'était un noir qui passait par là, et qui lui dit: "qu'est-ce t'as à me r'garder comm'çà!" et il lui flanque un grand coup de tête dans le nez. Bilan: l'autre a le nez cassé. Si cela continue, sous peu, la seule chose qu'on aura le droit de faire en croisant un noir, c'est de se prosterner devant lui.

Autre délire antiraciste: l'Oréal.
L'Oréal a été condamné pour discrimination raciste, car il favorisait à l'embauche le personnel bleu blanc rouge. D'ailleurs, où est le problème? On peut partir d'un premier principe, c'est que le groupe essaye de maximiser ses bénéfices. Je pense personnellement que le président de l'Oréal et le conseil d'administration se fichent pas mal de savoir si les vendeuses sont blanches, noirs ou vertes, du moment que l'argent rentre et qu'elles sont compétentes. Donc s'il favorise les blanches, c'est parce qu'elles vendent mieux, d'après moi. Non? Une raison logique, c'est parce que les clientes sont en majorité blanches, et que tout le monde préfère être en face de quelqu'un qui lui ressemble. Et ce n'est pas un critère uniquement de race, mais également d'âge, etc. De plus, il est évident que chaque partie de la population n'a pas le même avis sur les crèmes. Si une cliente veut une crème pour peaux très claires, c'est normal qu'elle fasse plus confiance à une blanche qu'une noire. C'est comme si je ne savais pas choisir une viande dans un restaurant, je ne m'adresserais pas à un serveur végétarien, parce que je le considère comme moins compétent sur le chapitre des viandes que quelqu'un d'autre.
Que fait le groupe? Il décide de se rattraper: il supprime d'abord comme critère d'embauche le lieu de résidence, ce qui est, comme je l'ai déjà expliqué totalement stupide. Une personne proche de son lieu de travail, c'est:
la garantie qu'elle pourra venir même en cas de grève de transports
la certitude qu'elle pourra venir très rapidement en cas de besoin urgent
minimiser les risques d'accidents sur les trajets domicile-lieu de travail, qui sont payés par l'employeur.
En outre, il décide de créer deux groupes de CV, lors des embauches: les CV portant des prénoms qui pourraient être discriminés, et les autres. Enfin, l'Oréal explique doctement que:"lorsque nous rencontrons un candidat qui a un prénom d'origine étrangère, il a plus de chance d'être recruté que celui qui porte un prénom français de souche. " Veuillez saisir la différence de traitement: il est sanctionné pour avoir favorisé les blancs, et se targue maintenant de favoriser les candidats aux prénoms d'origine étrangère. Mais dans un cas, c'est de l'abominable racisme, dans l'autre, c'est la discrimination positive. Ou y a t-il un soupçon de logique là dedans? Ce que l'Oréal instaure, c'est une hiérarchie entre les races, c'est à du racisme, un racisme anti blanc.
Toutes les activités antiracistes ne font qu'attiser le racisme. Supposons qu'ensuite un Pierre Dubois postule à l'Oréal et qu'il est refusé; ne serait-il pas fondé à se déclarer victime du racisme? Dinesh Souza, d'origine africaine immigré aux Etats Unis, expliquait que la discrimination positive était quelque chose d'extrêmement dangereux. Il prenait l'exemple d'un dentiste; quand vous avez mal aux dents, vous vous précipitez chez le premier dentiste que vous trouvez, quelle que soit sa race. Bien sûr, disait-il, il y aura sans doute une poignée d'extrêmistes qui préféreront souffrir en attendant qu'un dentiste blanc soit libre, mais cela devrait être l'exception. En revanche, avec la discrimination positive, deux effets devraient se produire: les candidats blancs aux études pour devenir dentistes rejetés qui pourraient considérer que "c'est de la faute des noirs qu'on a favorisés si je n'ai pas été pris", et le deuxième effet, c'est l'homme lambda qui souffre des dents et qui se dit: je sais que le dentiste noir d'à côté est libre, mais a t-il eu son diplôme parce qu'il est noir ou parce qu'il est compétent? A t-il été bénéficaire de la discrimination positive ou pas? Et le patient sera fondé à attendre qu'un dentiste blanc se libère (jusqu'à ce qu'un lobby antiraciste le traite de raciste parce qu'il est allé chez un médecin blanc).
Méditons cette citation: "l'antiracisme sera le communisme du XXIè siècle", et en attendant, boycottons l'Oréal.