jeudi 13 septembre 2007

Immigration: les technocrates bruxellois en première ligne

Vous vous demandez sans doute à quoi peut bien servir la cohorte de technocrates bruxellois. Ils ont aujourd'hui trouvé une nouvelle utilité! Plaider en faveur de l'immigration en Union Européenne. Alors que les tensions communautaristes se multiplient, que des émeutes insurectionnelles éclatent un peu partout, que des habitants manifestent spontanément leur mécontentement face à l'immigration massive, que le chômage est très élevé, l'UE persiste et signe: oui, il faut plus d'immigration.
Une carte bleue (par analogie à la Green Card) serait distribuée à 20 millions d'immigrés, qui pourraient s'installer en Union Européenne pendant deux ans. La durée de leur séjour pourrait être étendue, et au bout de 5 ans, ces étrangers acquerraient le droit de s'installer définitivement dans l'Union Européenne.
Cette mesure a été annoncée par le commissaire à la justice et aux affaires intérieures, issu de Forza Italia (ce qui montre une fois de plus qu'il n'y a rien à attendre de la fausse droite, qu'elle soit Française, Italienne, ou d'un autre pays).
Le pire, ce sont ses justifications: "L’Europe a besoin de main-d’œuvre étrangère. Nous devons regarder l’immigration non pas comme une menace mais — si elle bien gérée et c’est notre nouvelle tâche — comme un enrichissement et un phénomène inévitable dans le monde d’aujourd’hui."
Dire autant de bêtise en un minimum de mots, c'est une rare performance.
Besoin de main d'oeuvre étrangère. Nous avons des millions de chômeurs, et de plus l'économie est de plus en plus axée sur le tertiaire; or les immigrés sont généralement non qualifiés.
L'immigration est une menace pour la sécurité de notre patrie, une menace pour notre budget (coût de l'immigration estimé au moins à 50 milliards d'euros par an, en aides sociales, etc), mais surtout pour notre civilisation! Ces millions d'immigrés ne cessent de demander des droits (ils n'ont que ce mot là à la bouche), envahissent la France avec leurs mosquées, détruisent notre belle langue en parlant un sabir incompréhensible, quand ce n'est pas plus simplement l'arabe ou le turc qu'ils emploient...
"Si elle est bien gérée et c'est notre nouvelle tâche". Mais elle n'est pas bien gérée! Rien n'a été fait pour apprendre à ces immigrés à parler Français, à connaître l'histoire de la France, à respecter ses habitants, ses coutumes et ses lois, et à se démener pour ne pas vivre aux crochets de la société. QUant à parler de nouvelle tâche, mais c'est nous prendre pour des imbéciles! L'immigration en France a commencé massivement avec le regroupement familial sous Giscard d'Estaing. Cela fait 30 ans que la fausse droite et les socialo communistes ouvrent massivement leurs frontières et abaissent le niveau d'exigence pour rentrer en France, accordent des aides massives et font tout pour développer le communautarisme à des fins bassements électorales. Et c'est comme cela partout! Que ce soit la pseudo droite ou la gauche, rien de positif n'a été fait, rien n'a été corerectement gérée. Et ce n'est pas quand la maison brûle que l'on commence à se demander s'il ne faudrait pas installer l'eau courante.
Un enrichissement? En quoi? Pas en monnaie, en tout cas, vu tout ce que l'immigration nous coûte. Un enrichissement culturel? Désolé, mais je préfère nos cathédrales romanes aux cases africaines.
Un phénomène inévitable? Bien sûr que si! Prenez la Suisse; grâce à une politique de fermeté et le recours aux referendums, les lois d'immigration sont très strictes. Il s'agit de volonté, c'est tout.
Non, cette immigration aura des effets désastreux et les maux que nous déplorons depuis des années n'iront qu'en s'aggravant. Notre natalité est faible, la leur très importante, il est à craindre que d'ici quelques décennies la France soit devenue une terre arabo musulmane, à coup d'immigration, de reproduction, de prise de contrôle par le vote.

Violence: qui sont les coupables?

Il est assez notable de voir que les medias préfèrent, en règle générale, quand il y a des incidents, émeutes, agressions, cacher l'origine ethnique des coupables et ne pas divulguer leurs noms. En effet, ils ne voudraient pas accréditer la thèse que l'immigration irait de pair avec la délinquance. De même, quand le coupable est notoirement un Arabe/maghrébin/immigré africain, ils ont généralement tendance à expliquer qu'il ne faut surtout pas faire d'amalgame. Cela peut tourner à la caricature, quand des journalistes vont trouver des parents desespérés parce que leur enfant a été assassiné sauvagement par un immigré et leur demandent: "pensez vous que le meurtre sera exploité par l'extrême droite?", ce qui a l'air d'être leur préoccupation première, le fait qu'une personne ait été tuée paraissant tout à fait secondaire à leurs yeux.
A côté de cela, les statistiques ethniques sont interdites, donc il est difficile de corroborer ou d'infirmer le lien entre immigration et délinquance. Nous n'avons donc qu'à nous appuyer sur des ouvrages écrits par des personnes insoupçonnables, par exemple le Petit dictionnaire pour combattre l'extrême droite, livre écrit par Mme Aubry (j'ose espérer que l'on ne la taxera pas de "fasciste"). Dans ce livre donc, voilà ce qui est écrit:"En 1993, 140 000 étrangers ont été mis en cause, soit 19,8% du total des personnes mises en cause, trois fois plus donc que leur proportion dans la population. Les étrangers représentent 15% des personnes mises en cause pour vol, 12% de celles qui le sont pour infractions économiques et financières, 12% aussi pour crimes et délits contre les personnes, 18% pour non- respect de la législation sur les stupéfiants et 96% pour délits relatifs à la police des étrangers (44 000 personnes étrangères mises en cause sur les 140 000 le sont à ce dernier titre). Si l'on retire ce dernier motif, par définition sans objet pour des Français, le pourcentage d'étrangers mis en cause passe alors de 19,8% à 14%, soit un taux encore très élevé, plus du double de leur proportion dans la population totale. 14% : ce taux se retrouve pour les étrangers condamnés en 1992. La délinquance est donc environ deux fois plus importante chez les étrangers que chez les Français (hors délits à la législation sur les étrangers)." On remerciera Mme Aubry pour ce moment de franchise. Il serait bon que ces statistiques soient actualisés.
En attendant, on peut toujours s'appuyer sur des cas précis. Une affaire va être jugée bientôt. Elle concerne le caillassage d'une voiture de police à la cité des Tarterêts, suivie du tabassage des policiers qui l'occupaient. Bien évidemment, les policiers n'ont pas osé sortir leur arme et l'utiliser, vu la peur d'une bavure policière et sans doute les consignes internes. Le Monde, bizarrement (ce n'est pas son style normal. Les médias se réveillent-ils?), cite les noms des sept prévenus: Ahmed Aimad, 23 ans, Mehdi Bouharel, 19 ans, Karim Boutahrifa, 19 ans, Mounir Labidi, 23 ans, Bianca Ngobila, 19 ans, Bachirou Tandjigora, 21 ans, Abderazak Harem, 20 ans. Etrange! pas un seul "Paul Dupont" ou "Bernard Dubois".

Préférence étrangère: quand les immigrés sont incités à investir ailleurs

Une convention a été signée entre les caisses d'épargne et l'Etat. cette convention vise à créer un compte épargne codéveloppement. les personnes étrangères pourront y mettre jusqu'à 50 000 euros, et elles disposeront d'unavantage fiscal (réduction d'impôts) si elles investissent dans leur pays d'origine!
C'est à dire que le gouvernement, non content d'accueillir des centaines de milliers d'immigrés, favorise un investissement dans leur pays d'origine! Les Français qui finançaient déjà l'aide aux pays en développement (en pure perte d'ailleurs, les aides allant dans le meilleur des cas dans les poches des dictateurs véreux, quand elles ne servaient pas à acheter des armes et à permettre aux Africains de s'entre tuer), vont maintenant financer des investissements vers les pays à l'extérieur.
Cette mesure est bien sûr inadmissible pour plusieurs raisons: il y a une double perte d'argent pour la France. La première origine de perte de fonds, ce sont les étrangers qui vont investir préférentiellement vers les pays étrangers plutôt qu'en France. La deuxième perte, ce sont les déductions fiscales que les Français devront payer pour les immigrés.
Mais les raisons pour lesquelles la création de ce compte ne va pas ne sont pas seulement financières; en effet, ce compte va également créer un lien encore plus fort entre les immigrés et leur pays d'origine, alors qu'il aurait au contraire fallu intégrer et assimiler les immigrés. A force d'investir dans les pays d'origine, les immigrés ne vont même plus se préoccuper de l'état de l'économie française. Ob remarque d'ailleurs que cette mesure est discriminatoire envers les Français de souche, mais dans ce cas là, cela ne gêne personne.
Une fois de plus, le gouvernement s'enfonce dans du communautarisme et favorise les immigrés aux dépens des Français. Qu'il est loin, le temps où la Grèce antique, première république du monde, faisait payer aux immigrés (appelés métèques [metoikos: étranger]) un impôt spécial...