Un moment détente: voyez la vidéo dans laquelle Sarkozy s'enthousiasme pour un stylo ici. C'est nul, mais j'avoue, cela m'a bien fait rire, surtout avec les commentaires.
Bon, c'est promis, je redeviens sérieux.
jeudi 7 février 2008
Marine Le Pen continue dans son sabotage de la droite nationale
Source: le Monde
Marine Le Pen persiste et signe. Dans un entretien à l'hebdomadaire Minute, passerelle entre la droite et l'extrême droite (édition du 6 février), la vice-présidente exécutive du Front national fait voler en éclats les tentatives de rapprochements entre le MNR, parti présidé par Bruno Mégret, et le FN pour les élections municipales.
Des tentatives menées au niveau national par Nicolas Bay, secrétaire général du MNR et Jean-François Touzé, conseiller FN de la région Ile-de-France, qui ont créé ensemble, en novembre 2007, les clubs Convergences nationales. "J'ai expliqué à Nicolas Bay que je ne rejetais pas le MNR de manière collective, mais que les tâtonnements politiques de Bruno Mégret et ses multiples manoeuvres déloyales à l'égard du FN font de lui un obstacle à toute amélioration des relations entre nos deux formations", déclare Mme Le Pen, qui classe l'engagement européen de M. Mégret parmi les "tâtonnements politiques graves".
"MARINE LE PEN A PEUR DE MOI"
"Il faut, quand on est dans le même camp, avoir un minimum de confiance les uns envers les autres, et le moins qu'on puisse dire est que le crédit de Bruno Mégret en la matière est ruiné auprès des adhérents et des cadres du FN", continue-t-elle, en précisant que son parti a, en revanche, passé un accord national avec des anciens du MNR, aujourd'hui membres du Parti populiste.
"Marine Le Pen a toujours eu peur de moi. Pourtant, je ne lui veux pas de mal", ironise M. Mégret, qui appelle cette dernière à "avoir plus de confiance en elle". Nicolas Bay préfère, lui, temporiser, en constatant qu'il a pu rencontrer Mme Le Pen, et qu'un "dialogue existe enfin entre le MNR et le FN". Il affirme que "sans que ce soit formalisé les deux formations ne présenteront pas de listes concurrentes aux municipales". Jean-François Touzé souligne, lui, que "Jean-Marie Le Pen avait, dans un premier temps, donné son accord pour des listes communes FN-MNR dans différentes villes dont Le Havre et Toulon", mais "cela a échoué car certains, dont le secrétaire général, Louis Aliot", un proche de Marine Le Pen, "ne voulaient pas que cela se fasse."
Le sectarisme pernicieux de Marine et ses séides (comme Aliot, qui est aussi nuisible qu'elle) continue. Au lieu de chercher à aider la droite nationale à remporter le plus de conseillers municipaux, Marine, entre deux purges internes, préfère manifestement qu'il n'y ait aucune liste droite nationale plutôt qu'une liste FN-MNR. Mais quand en serons-nous débarrassés?
Marine Le Pen persiste et signe. Dans un entretien à l'hebdomadaire Minute, passerelle entre la droite et l'extrême droite (édition du 6 février), la vice-présidente exécutive du Front national fait voler en éclats les tentatives de rapprochements entre le MNR, parti présidé par Bruno Mégret, et le FN pour les élections municipales.
Des tentatives menées au niveau national par Nicolas Bay, secrétaire général du MNR et Jean-François Touzé, conseiller FN de la région Ile-de-France, qui ont créé ensemble, en novembre 2007, les clubs Convergences nationales. "J'ai expliqué à Nicolas Bay que je ne rejetais pas le MNR de manière collective, mais que les tâtonnements politiques de Bruno Mégret et ses multiples manoeuvres déloyales à l'égard du FN font de lui un obstacle à toute amélioration des relations entre nos deux formations", déclare Mme Le Pen, qui classe l'engagement européen de M. Mégret parmi les "tâtonnements politiques graves".
"MARINE LE PEN A PEUR DE MOI"
"Il faut, quand on est dans le même camp, avoir un minimum de confiance les uns envers les autres, et le moins qu'on puisse dire est que le crédit de Bruno Mégret en la matière est ruiné auprès des adhérents et des cadres du FN", continue-t-elle, en précisant que son parti a, en revanche, passé un accord national avec des anciens du MNR, aujourd'hui membres du Parti populiste.
"Marine Le Pen a toujours eu peur de moi. Pourtant, je ne lui veux pas de mal", ironise M. Mégret, qui appelle cette dernière à "avoir plus de confiance en elle". Nicolas Bay préfère, lui, temporiser, en constatant qu'il a pu rencontrer Mme Le Pen, et qu'un "dialogue existe enfin entre le MNR et le FN". Il affirme que "sans que ce soit formalisé les deux formations ne présenteront pas de listes concurrentes aux municipales". Jean-François Touzé souligne, lui, que "Jean-Marie Le Pen avait, dans un premier temps, donné son accord pour des listes communes FN-MNR dans différentes villes dont Le Havre et Toulon", mais "cela a échoué car certains, dont le secrétaire général, Louis Aliot", un proche de Marine Le Pen, "ne voulaient pas que cela se fasse."
Le sectarisme pernicieux de Marine et ses séides (comme Aliot, qui est aussi nuisible qu'elle) continue. Au lieu de chercher à aider la droite nationale à remporter le plus de conseillers municipaux, Marine, entre deux purges internes, préfère manifestement qu'il n'y ait aucune liste droite nationale plutôt qu'une liste FN-MNR. Mais quand en serons-nous débarrassés?
Succès pour le colloque contre l'islamisation
(Texte écrit mardi dernier)
Le colloque contre l'islamisation, organisé par Synthèse nationale ce week end, a
rassemblé un public de 220 personnes venues écouter de nombreux intervenants de qualité, comme Bernard Antony, président de Chrétienté Solidarité, Nicolas Tandler, qui expliqua comment l'islamisation se développait dans le monde du travail à cause des syndicats, Mme Vayssière, conseillère municipale du Mouvement National Républicain à Montreuil, qui fit un cours pratique sur la façon d'annuler le versement de subventions déguisées aux associations musulmanes et rappela les nombreuses victoires du
MNR en ce domaine, comme à Marseille ou à Montreuil, ainsi que les recours en cours, comme à Boulogne-Billancourt. Citons également M Touzé, conseiller régional FN et président de Convergences nationales, qui évoqua la nécessaire union de la droite nationale sur cette question cruciale.
Je vous invite à consulter également le compte rendu publié sur le site internet de Synthèse nationale ici, publié le 3 février.
Le colloque contre l'islamisation, organisé par Synthèse nationale ce week end, a
rassemblé un public de 220 personnes venues écouter de nombreux intervenants de qualité, comme Bernard Antony, président de Chrétienté Solidarité, Nicolas Tandler, qui expliqua comment l'islamisation se développait dans le monde du travail à cause des syndicats, Mme Vayssière, conseillère municipale du Mouvement National Républicain à Montreuil, qui fit un cours pratique sur la façon d'annuler le versement de subventions déguisées aux associations musulmanes et rappela les nombreuses victoires du
MNR en ce domaine, comme à Marseille ou à Montreuil, ainsi que les recours en cours, comme à Boulogne-Billancourt. Citons également M Touzé, conseiller régional FN et président de Convergences nationales, qui évoqua la nécessaire union de la droite nationale sur cette question cruciale.
Je vous invite à consulter également le compte rendu publié sur le site internet de Synthèse nationale ici, publié le 3 février.
Déni de démocratie à Versailles: déni de démocratie
(Texte écrit mardi dernier)
Sans surprise, le Congrès réuni hier à Versailles a voté la modification du titre XV de la Constitution, par 560 voix pour, 181 contre, et 152 abstentions. Le PS était particulièrement divisé. Parmi ceux qui ont voté contre, essentiellement des socialistes et des communistes, mais aussi des députés et sénateurs souverainistes, du MPF comme Mme Véronique Besse, M. Bernard Seillier, MM. Philippe Darniche et
Bruno Retailleau, Debout La R comme M. Nicolas Dupont Aignan, divers droite comme François Xavier Villain, M. Charles Pasqua, M Jacques Myard.
Ce qui montre bien que l'Assemblée nationale ne représente qu'elle même, puisque le peuple Français avait voté non en 2005 à 54,68%, alors même que l'Assemblée
nationale avait voté à l'époque oui à plus de 90%. La ratification par le Congrès d'un texte rejeté aussi clairement par les Français, sans même un nouveau
referendum, constitue un très grave déni de démocratie.
Les partisans du oui avancent les raisons les plus grotesques pour justifier ce coup de force, en prétendant par exemple que le texte serait un mini traité, alors qu'il fait 145 pages et est associé à trente six protocoles et vingt-six déclarations et annexes, disent que M Sarkozy a reçu mandat du peuple français pour valider le texte, alors que Sarkozy a été élu avec seulement 54,06% c'est à dire avec un pourcentage de voix plus faible que celui du non, ou encore affirment que le Traité de Lisbonne serait très différent du Traité Constitutionnel Européen, rejeté le 29 mai 2005, alors que Valéry Giscard d'Estaing reconnaît lui même que « les outils sont les mêmes »; en particulier, un président, un haut représentant de l’Union pour les affaires
étrangères et la politique de sécurité » , la perte pour la France d'un
comissaire permanent, la fin de l'unanimité sur des sujets essentiels ou la charte des droits fondamentaux. La seule modification compéhensible pour Monsieur tout le monde serait l'abandon des symbolesde l'Union Européenne, mais M Giscard d'Estaing a déclaré que les dispositions là dessus sont destinées à rester inappliquées,
tandis que les députés européens ont voté une déclaration concernant lesdits symboles qui serait annexé au traité. Il n'y a donc pour ainsi dire aucune différence notable entre les deux textes.
Des partisans du non, souverainistes ou de gauche, avaient tenté de se réunir devant Versailles afin de protester contre cette modification de la Constitution. La police avait barré les accès à Versailles et bloqué la plupart des rues adjacentes, et à l'aide de cordons de CRS avait empêché les nonistes de s'unir. Des manifestants furent également empêchés d'aller et venir par les forces de l'ordre sous
des prétextes fallacieux. La police aurait également fait usage de gaz lacrymogène.
Ce n'est pas la première fois que le pouvoir s'acharne contre les partisans du
non; on se souvient que le colloque que devait prononcer M Paul Marie Coûteaux, député européen du Rassemblement pour l'Indépendance et la Souveraineté de la France à la Sorbonne en décembre avait été interdit pour des raisons de sécurité, tandis que le lieu d'une des manifestations des partisans du non était changé le
jour même.
Sans surprise, le Congrès réuni hier à Versailles a voté la modification du titre XV de la Constitution, par 560 voix pour, 181 contre, et 152 abstentions. Le PS était particulièrement divisé. Parmi ceux qui ont voté contre, essentiellement des socialistes et des communistes, mais aussi des députés et sénateurs souverainistes, du MPF comme Mme Véronique Besse, M. Bernard Seillier, MM. Philippe Darniche et
Bruno Retailleau, Debout La R comme M. Nicolas Dupont Aignan, divers droite comme François Xavier Villain, M. Charles Pasqua, M Jacques Myard.
Ce qui montre bien que l'Assemblée nationale ne représente qu'elle même, puisque le peuple Français avait voté non en 2005 à 54,68%, alors même que l'Assemblée
nationale avait voté à l'époque oui à plus de 90%. La ratification par le Congrès d'un texte rejeté aussi clairement par les Français, sans même un nouveau
referendum, constitue un très grave déni de démocratie.
Les partisans du oui avancent les raisons les plus grotesques pour justifier ce coup de force, en prétendant par exemple que le texte serait un mini traité, alors qu'il fait 145 pages et est associé à trente six protocoles et vingt-six déclarations et annexes, disent que M Sarkozy a reçu mandat du peuple français pour valider le texte, alors que Sarkozy a été élu avec seulement 54,06% c'est à dire avec un pourcentage de voix plus faible que celui du non, ou encore affirment que le Traité de Lisbonne serait très différent du Traité Constitutionnel Européen, rejeté le 29 mai 2005, alors que Valéry Giscard d'Estaing reconnaît lui même que « les outils sont les mêmes »; en particulier, un président, un haut représentant de l’Union pour les affaires
étrangères et la politique de sécurité » , la perte pour la France d'un
comissaire permanent, la fin de l'unanimité sur des sujets essentiels ou la charte des droits fondamentaux. La seule modification compéhensible pour Monsieur tout le monde serait l'abandon des symbolesde l'Union Européenne, mais M Giscard d'Estaing a déclaré que les dispositions là dessus sont destinées à rester inappliquées,
tandis que les députés européens ont voté une déclaration concernant lesdits symboles qui serait annexé au traité. Il n'y a donc pour ainsi dire aucune différence notable entre les deux textes.
Des partisans du non, souverainistes ou de gauche, avaient tenté de se réunir devant Versailles afin de protester contre cette modification de la Constitution. La police avait barré les accès à Versailles et bloqué la plupart des rues adjacentes, et à l'aide de cordons de CRS avait empêché les nonistes de s'unir. Des manifestants furent également empêchés d'aller et venir par les forces de l'ordre sous
des prétextes fallacieux. La police aurait également fait usage de gaz lacrymogène.
Ce n'est pas la première fois que le pouvoir s'acharne contre les partisans du
non; on se souvient que le colloque que devait prononcer M Paul Marie Coûteaux, député européen du Rassemblement pour l'Indépendance et la Souveraineté de la France à la Sorbonne en décembre avait été interdit pour des raisons de sécurité, tandis que le lieu d'une des manifestations des partisans du non était changé le
jour même.
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