Le matraquage quotidien continue.
Là, c'est un agent du ministère de l'immigration qui aurait insulté un vigile noir en lui disant "sale noir". Ici, c'est un professeur qui aurait dit à un de ses élèves d'origine étrangère "c'est un travail de bougnoule". Quoi de plus facile que de jeter en pâture un individu sous l'accusation infamante de racisme, ou xénophobie? Quoi de plus excitant pour des élèves que de traîner dans la boue son professeur sous de telles accusations?
Quand bien même les accusations seraient vraies, un tel tapage médiatique au sujet de deux malheureux incidents est plus que suspect.
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