Monsieur Le Pen a accordé une interview au journal Bretons.
Compte rendu sujet à caution:
Lors de cette interview, le patron du Front National, n’hésite pas à expliquer au journaliste de "Bretons", qui lui explique que ce qui était important c’est d’avoir déporté "des gens pour les amener dans des camps juste pour les faire tuer", que pour lui qu’il ne se "sent pas obligé d’adhérer à cette vision-là (…) Je constate qu’à Auschwitz il y avait l’usine IG Farben, qu’il y avait 80.000 ouvriers qui y travaillaient. A ma connaissance, ceux-là n’ont pas été gazés en tout cas. Ni brûlés", ose lancer Jean-Marie Le Pen.
Deuxième acte: JMLP envoie une lettre au magazine, lettre recommandée, en leur demandant de ne pas publier l'interview. (Le Pen s'est peut-être rendu compte de la nouvelle polémique qu'il va susciter?)
Troisième acte: Le magazine publie quand même l'interview.
Quatrième acte: les habituels droitsdel'hommistes protestent.
Cinquième acte: des personnalités du Front expriment, en termes mesurés, leur désapprobation, comme Marine Le Pen, Louis Aliot, mais également des responsables départementaux.
Sixième acte: Le Pen condamne cette désapprobation et envisage de convoquer un bureau politique pour sanctionner Aliot.
Je laisse chacun penser ce qu'il veut de cette affaire. Pour ma part, je me bornerai à constater qu'il y a suffisamment de problèmes actuels (islamisation, insécurité) pour ne pas avoir besoin de revenir sur la seconde guerre mondiale.
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