dimanche 23 septembre 2007

Explosif! Le dossier de l'islamisation à Boulogne

J'avais relaté ici un message qui avait été publié sur le Salon Beige (dont je n'étais pas l'auteur). Il est temps d'apporter plus d'informations maintenant sur l'islamisation des Hauts-de-Seine, et en particulier Boulogne, par la fausse droite umpiste avec la bénédiction des socialo-communistes.
Il y a deux associations musulmanes basées à Boulogne: l'association des Français musulmans de la région parisienne et le Centre culturel et cultuel musulman de Boulogne-Billancourt.
La première association semble peu active. Enregistrée en 1988, elle n'a eu depuis aucun changement de statut (ainsi, ses tarifs sont encore en Francs). L'article 2 précise que l'association a pour but de "rassembler la communauté musulmane et favoriser sa culture", "valoriser l'image de l'Islam", et plus curieux, "aider les Français musulmans les moins favorisés". L'article 5 précise que l'association est ouverte à toute personn de confession musulmane, de nationalité française, âgée au moins de 18 ans. On se demande quel serait le tollé que l'on entendrait dans les médias si une association était ouverte uniquement aux Catholiques, enfin passons, ce n'est pas l'association la plus importante. Malgré le manque flagrant d'activités, elle est quand même financée par la mairie (1065 euros+515 euros d'avantage en nature).
Le CCCMBB s'apellait avant "Association islamique de Boulogne" et a changé de nom le 18 novembre 2004. C'est cette association qui est financée grassement par la ville. Ainsi, cette association a reçu en 2006 la somme de 3050 euros. C'est également cette association qui gère les locaux musulmans à Boulogne. Les musulmans boulonnais étaient avant Allé du Vieux Pont de Sèvres et ont obtenu le prêt gratuit d'un hangar C8, prêté par Renault à la ville et par la ville au CCCMBB. La remise en état du hangar a coûté plusieurs centaines de milliers d'euros, financés en partie par la ville. Toutefois, le prêt devrait prendre fin assez vite, et c'est ainsi que le CCCMBB cherchait à s'implanter définitivement.
Ainsi, la ville de Boulogne s'apprêtait à acheter une parcelle de 921 mètres carrés au sud ouest du Trapèze, (parcelle AX39 sur le cadastre), au prix de 1.66 million d'euros HT et à la louer au CCMB pour la somme dérisoire de 12 000 euros par an, soit 1.08 euros au mètre carré par mois! Dans toute opération immobilière, le Service des Domaines doit être consulté; il fixe une estimation précise des terrains et des baux. Le service des domaines avait estimé le que la valeur correct du bail serait de 60 000 euros par an, c'est à dire que Boulogne s'engageait, en toute connaissance de cause, à perdre 48 000 euros par an! Le bail courant sur 75 ans, c'était donc la somme de 3 600 000 euros de déficit par rapport à ce qui aurait pu être excompté, 3 600 000 euros compensés par les impôts payés par les contribuables.
Je me suis rendu à la séance du 12 juillet 2007 pendant laquelle la décision d'autoriser un tel bail allait être discutée. M Gaborit a lui même mentionné un loyer prévu cinq fois inférieur au service des domaines, et reconnu que juridiquement le projet n'est pas valide et qu'il fallait être discret. Tout cela n'empêcha pas les conseillers municipaux de voter dans un élan quasi unanime (un socialiste, au nom de la laïcité, vota contre par mandat [il était absent]) l'autorisation de signer un tel bail, au mépris des lois et de l'argent des impôts des contribuables. Décision d'autant plus scandaleuse qu'en Arabie Saoudite, par exemple, il est impossible de posséder une Bible, et même de pénétrer à la Mecque quand on n'est pas musulman, sous peine de mort; de pouvoir se convertir au christianisme quand on est un musulman égyptien. Aucun pays musulman n'applique vraiment la liberté religieuse et ne prévoit le même statut pour les musulmans et les non musulmans.
Revenons à la municipalité; elle publie un texte qu'elle appose devant la mairie en transformant de manière éhontée les propos tenus durant la séance municipale du 12 juillet 2007. Par exemple, M Gaborit disait que le loyer était cinq fois inférieur à l'estimation du service des domaines; dans le texte publié, il est mentionné "plus faible".
Bien entendu, le MNR, choqué de ce bail au loyer dérisoire et déterminé à combattre l'islamisation, a porté plainte devant le tribunal administratif de Versailles.

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