samedi 23 février 2008

Citations

Jouons au petit jeu de: qui a dit...

Les émeutes [de Viliers-le-Bel] confirment le diagnostic de novembre 2005.(…) Arrêtons de découvrir l’eau chaude. Dans la “merde” sociale, morale et culturelle s’épanouissent des mafieux, des trafiquants, des intégristes qui profitent du malheur des habitants (…). La gangrène se développe dans le mépris des institutions, de l’autorité, des règles de la République. Des groupes déterminés attaquent les symboles de la République…

Peu de moyens sont investis pour éradiquer cette gangrène, ces groupes barbares qui terrorisent les quartiers, imposent leur loi et constituent les ferments d’une guerre civile. La politique du coup de poing n’est trop souvent que coups d’épée dans l’eau. Il faut demander à la police et à la justice de se concentrer sur l’essentiel : la violence, l’infiltration islamique à visée terroriste et les trafics de tous genres qui alimentent ces quartiers en argent frais.


Dans le même temps, il faut s’attaquer au danger mortel que représente le racisme anti-arabe, antisémite, anti-blanc, anti-France. (…)


Il s'agit de M Gérin, député maire communiste de Vénissieux.

Les communistes pendant très longtemps ont eu une attitude de réticence vis à vis de l'immigration, qui provoquait une baisse des salaires de ouvriers français.
C'est ainsi que le 24 décembre 1980, le maire communiste de Vitry rase au bulldozer un foyer habité par 300 travailleurs maliens immigrés. Georges Marchais, secrétaire général du PCF, écrit une lettre de soutien: "je vous le déclare nettement : oui, la vérité des faits me conduit à approuver, sans réserve, la riposte de mon ami Paul Mercieca. (…) Plus généralement, j’approuve son refus de laisser s’accroître dans sa commune le nombre, déjà élevé, de travailleurs immigrés " ;

- En raison de la « la présence en France de près de quatre millions et demi de travailleurs immigrés et de membres de leur familles, la poursuite de l’immigration pose aujourd’hui de graves problèmes. Il faut les regarder en face et prendre rapidement les mesures indispensables. »

- « La cote d’alerte est atteinte. (…) C’est pourquoi nous disons : il faut arrêter l’immigration, sous peine de jeter de nouveaux travailleurs au chômage. »

- « Je précise bien : il faut stopper l’immigration officielle et clandestine. »

- « Il faut résoudre l’important problème posé dans la vie locale française par l’immigration ».

- « Se trouvent entassés dans ce qu’il faut bien appeler des ghettos, des travailleurs et des familles aux traditions, aux langues, aux façons de vivre différentes. Cela crée des tensions, et parfois des heurts entre immigrés des divers pays. Cela rend difficiles leurs relations avec les Français. »

- « Quand la concentration devient très importante (…), la crise du logement s’aggrave ; les HLM font cruellement défaut et de nombreuses familles françaises ne peuvent y accéder. Les charges d’aide sociale nécessaires pour les familles immigrés plongées dans la misère deviennent insupportables pour les budgets des communes ».



Puis avec la disparition de la classe ouvrière, dont les membres se tournent d'ailleurs de plus en plus vers la droite nationale, le PCF décide de se tourner vers les immigrés et musulmans pour faire sa pêche aux voix.

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